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Castlevania Portrait of Ruin
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  Note générale
GamesUP.ch
9/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
Nintendo DS
Sur Nintendo DS

Les

+

> Durée de vie
> Les nombreuses références
> La collaboration entre les deux héros
> Les nombreux pouvoirs et objets
> Le bestiaire
> La Bande-son
> L'intro en DA
> Jouer avec Richter et Maria
> Les graphismes exceptionnels
> Les scénarios cachés...
 

Les

> J'ai plus de batterie sur ma DS lol !

La série au mille épisodes, continue sur sa lancée en offrant une aventure spectaculaire à la Nintendo DS. A l’occasion des 20 ans de la saga Castlevania, le producteur de la série Koji Igarashi, c’est permis d’inclure des tonnes de clin d’œil faisant référence aux titres passés et par de même de nous offrir le jeu le plus évolué et le plus recherché du support, et là attention chef-d’œuvre !

En 1944…

L’histoire de cet épisode se déroule pendant la seconde guerre mondiale, mais la bataille en elle-même n’a guère d’influence directe sur l’aventure. Seule les âmes des damnées ont une utilité à la résurrection de la toute puissance du seigneur du mal : j’ai nommé, Dracula en personne ! Vous incarnez dans cette histoire deux protagonistes antagonistes : Jonathan Morris et Charlotte Aulin. Le nom du premier peut sembler familier au plus vieux d’entre nous, car en effet il rappel ouvertement le nom d’un autre héros de jadis de la saga : John Morris. Ce dernier n’était autre que le père de notre tueur de vampire actuel, qui lui-même avait été protagoniste de Castlevania Bloodline (NDR : The New Generation en version PAL) sur Sega Mega Drive. D’ailleurs d’autres similitudes sont de la partie, comme le fait que John Morris était à l’époque en plein cœur de la première guerre mondiale et que ce dernier possédait le légendaire fouet de la famille Belmont : Le Vampire Killer !!! Jonathan a donc hérité de cette arme mythologique transmise de père en fils depuis des centaines d’années. Notre ami ne sait en effet pas comment utiliser la puissance du fouet et surtout comment il a obtenu, vu que se dernier n’est pas un descendant direct de la tribu Belmont. Notre deuxième personnage jouable est une jeune fille de 16 ans qui est la meilleure amie de Jonathan et qui possède des facultés de magicienne de haut niveau. Cette dernière s’avérera très utile par la suite grâce à ces connaissances en sortilèges. Mais que font nos deux amis en pleine nuit ? D’après certaine rumeur le château serait toujours en possession des forces des ténèbres et il semblerait qu’un vampire du nom de Brauner serait le maître des lieux. Se dernier paraît aspirer les âmes des morts tués à la guerre et accroirait indiscutablement les pouvoirs du prince du mal par la même occasion, afin de le ressusciter une nouvelle fois ! Le manoir renfermerait des tableaux fantasmagoriques dans lesquels les facultés occultes de Brauner seraient enfermées. Sorte d’univers parallèle en réalité, les peintures servent de passage dimensionnel et donnent accès à des lieux maudits que même les êtres les plus courageux ne sauraient explorer. Attention alors aux 2 filles du comte qui airent dans les lieux…

Château et vampires

Le concept de l’aventure est basé sur la complémentarité opposée des deux amis tueurs de monstres. Le héros utilise avant tout des méthodes guerrières et il peut s’équiper d’armes en tous genre, tendis que la jolie demoiselle emploie des sortilèges et des invocations plus ou moins puissants. Le gros chamboulement dans cet histoire provient du fait que pour avancé dans cette quête, il faut avant toutes choses combiner les aptitudes des deux, afin de résoudre les mystères qui englobe la demeure maléfique, tout en espérant battre les ennemis les plus coriaces, le plus aisément possible. Il faut dire, que le jeu se présente sous la forme d’un puissant château labyrinthique en 2 dimensions au mille et un piège. La grande nouveauté c’est surtout la possibilité d’invoquer des puissantes attaques à deux qui ne peuvent être activée que si votre jauge de magie et vos compétences le permettent. Il faut dire que le concept de gain d’expérience fait toujours partie de l’alchimie établie depuis longtemps à travers la série et qui s’octroie en éliminant un maximum d’ ennemis. Plus vos personnages gagnent en puissance et plus leurs dispositions augmenteront par la même occasion. Certaine circonstance demande une collaboration totale entre les deux, pour parvenir à bout d’énigmes pragmatiques et d’endroits délicats à franchir. Coté bizarrerie et monstruosité, le petit monde de Castlevania regorge d’adversaire issue pour la plupart des précédentes péripéties. Les mordus y retrouveront tout leurs meilleurs petits amis, comme les squelettes qui balancent des fémurs, les hommes poissons, les loups garous, les armures à la hache, les crânes volants etc. etc. etc. Même certain boss du Dawn of Sorrow font leur retour, histoire d’en découdre une nouvelle fois avec les forces du bien. Bien entendu, les graphismes s’alignent toujours sur la lignée typée gothique qui a fait le succès de la série depuis ces origines, accompagnés par des thèmes musicaux extraordinaires et rythmé à base d’instruments comme l’orgue ou le clavecin sur des tonalités de métal. Saupoudrez le toute avec une maniabilité sans faille et vous obtenez le titre le plus aboutit sur tous les plans de la DS. Le seul reproche que l’on peut formuler, c’est la présence d’un mode coopératif au rabais qui ne permet pas de jouer à deux simultanément l’aventure et qui se contente juste de diriger sur des niveaux limités d’origine. Par contre le jeu se compose d’une ribambelle de bonus caché qui vont faire le bonheur des fans de la première heure : vous pouvez jouer avec Richter Belmont et Maria, le duo de Symphonie of the Night, il vous faudra en primordialement venir à bout de la vingtaine d’heure d’action que propose la durée de vie du soft. Castlevania Portrait of Ruin s’impose tout naturellement comme la nouvelle référence du genre et prouve que la 2D n’est pas tout à fait morte, et que cette dernière correctement exploitée permet de faire des petits bijoux du genre. Pour résumer Portrait of Ruin il n’y a pas suffisamment de superlatifs dans la langue française pour le décrire correctement. Un monument du genre !

Testé sur Nintendo DS par Evil

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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 10/10    
 
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> Bande-son 9/10    
 
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> Durée de vie 9/10    
 
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> Scénario 9/10    
 
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> Note finale 9/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / RPG
Age: dès 12 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Oui
Editeur: Konami Europe
Site officiel: http://www.konami.jp:80/gs/game/dracula_ds2/
Développeur: Konami Europe
> PAROLE DU RÉDACTEUR