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Devil Kings
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  Note générale
GamesUP.ch
7/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 2
Sur PlayStation 2

Les

+

> le nombre d’ennemis dans chaque niveau
> Le nombre d’attaques disponibles
> Un pur défouloir
> Peu de ralentissement
> Un peu stratégique sur les bords
 

Les

> Une I.A. stupide
> Une durée de vie limitée

Tout le monde l’aurait pensé et imaginé, le jeu Samurai Warriors a connu des jours heureux en étant le pionnier dans le domaine vidéo ludique. Et évidemment, qui dit bonne idée, fait automatiquement penser à dérivé, ou concurrent. Chose que Capcom sait très bien faire… Prendre le bon d’un soft déjà lancé et le modifier à sa sauce. Dommage que certains aspects n’aient pas mieux été scrutés.
« Ils étaient milles, nous étions que deux, moi et mon katana »

Difficile de ne pas faire un test de Devil Kings sans penser automatiquement au fabuleux Samurai Warriors. Fabuleux, c’est un grand mot, car ce premier n’est pas parfait non plus. Quelques bonnes idées ont été laissées de côtés, et d’autres ont vraiment été mises en avant. C’est pourquoi un tour d’horizon en éclaireur s’impose (dans l’espoir de ne pas tomber dans une embuscade ennemie).

Tout n’est que fiction

Ce qui faisait la beauté de Samurai Warriors, c’était de se retrouver plongé à l’intérieur d’antiques guerres médiévales. Le nom des places, dynasties, ères était tirés de faits ayant existé. L’idée était excellente car elle combinait un style de jeu nouveau et un cours d’histoire médiévo-nippon. Maintenant reste à savoir sir Koei a déposé un Copyright sur l’utilisation de ces périodes et événements pour un jeu vidéo… En tout cas, sachez que Capcom lui ne s’est pas foulé pour retracer d’événements historiques. Ici, tout est fiction, les personnages ont été appelés avec des noms ressemblant plus à des combattants de Street Fighter plutôt qu’à de grands mercenaires d’époque médiévale. Enfin… Ca a quand même son avantage : Les personnes qui ne sont pas habitués s’y retrouveront plus facilement. Et autant le dire tout de suite, ce détail n’enlève rien au gameplay.

D’ailleurs, en parlant du Gameplay, celui-ci se voit un peu plus fournit que dans son concurrent direct. Chaque guerrier se retrouve avec des guerriers disposant chacun de deux séquences de coups qui peuvent être tapés en alternance. Ce qui est assez intéressant dans certaines situations. Un des combos sert à frapper les ennemis de manière brutale, le deuxième quant à lui vous permettra d’affaiblir vos ennemis. Ceux-ci deviendront alors plus vulnérables aux coups assénés, et vous permettront dans le même temps de pouvoir augmenter vos combos plus facilement… A la bonne heure ! De plus, pour ceux qui auraient de temps à autre des excès de rage à revendre, Devil Kings à penser à une jauge emmagasinant la poussée de testostérone de votre héros, qui une fois pleine, déchaîne les montagne et fait tomber n’importe quel ennemis dans un bain de douleur. En effet, chaque personnage dispose d’un coup dévastateur vous permettant de tuer tout ce qui se trouve en travers de votre chemin. Que c’est bon de se prendre pour un dieu vivant de temps en temps.
Vous aurez en sus de cela la possibilité d’acquérir des attaques spéciales propre à chacun. Ces mouvements assez utiles et puissants se comptent entre quatre et huit selon le personnage choisi, et vous permet de sortir de temps à autre de ces fâcheux et ennuyeux schémas de combos de base. Ce qui n’est pas si mal. Cependant vous pourrez utiliser ces nouveautés uniquement par deux durant les combats. Dans ce cas la, une petite stratégie s’impose. Et c’est d’autant plus regrettable car du coup, la sensation de déjà vu arrive très rapidement. C’est dommage. Car c’est la que réside la plus-value de ce jeu, fort malheureusement très mal gérée. Espérons que Capcom fasse un peu mieux la prochaine fois.

Cours… Et va toujours en avant… TOUJOURS J’AI DIS !!!

Bref… Un pâté complet pour vous dire que ça. C’est que se jeu vaut quand même la peine. Car on s’y amuse de bonnes petites heures dans ces mondes en formes de couloirs.

Et Ouais… Ce ne sont pas de vastes plaines qui s’offrent à vous ce coup-ci. Mais bel et bien des contrées formées de collines et vallées le tout dans des zones très peu ouvertes. On se retrouve alors à avancer plus ou moins toujours dans le même sens, et de moins avoir cette sensation de liberté qui faisait également les beaux jours du Concurrent Samurai Warriors.
Dans Devil Kings, si vous devez tomber sur un trésor, inutile de fouiller pendant des heures. Vous finirez bien par tomber dessus sans vous fouler.
Bien sûr, dans certains cas, vous devrez faire face à des embranchements qui selon votre posture et celle de vos alliés, favoriseront votre conquête ou pas. Vous pourrez très bien partir tel un cavalier solitaire et égoïste pour terrasser vos ennemis d’un coup de lame, pendant que vos troupes alliées se retrouvent dans une embuscade et se fasse laminer le portrait sans pouvoir faire grand-chose. Ce qui comme dit précédemment enlève un peu de liberté de mouvement à votre héros, mais qui rehausse le côté stratège qui sommeille en vous. D’autant plus qu’à chaque victoire aux côtés de vos troupes, vous en verrez d’autres débarquer. Ce qui facilite l’accès à la victoire. Mais bon, c’est quand même assez jouissif de tenter la conquête plus ou moins en solo. Avec pour cette fois de vraies troupes d’ennemis à terrasser… Quand je vous parle d’un bloc, c’est vraiment la cinquantaine d’ennemis au minimum qui se jette corps et âmes sur vous, et tout ça sans laguer s’il vous plait.
Un excellent point. On se retrouve enfin devant une armée à terrasser. Et ceci de manière assez ponctuelle… Vous aurez également des chances de tomber dans des embuscades plus ou moins périlleuses selon le degré de difficulté choisi et l’importance du combat. Ce qui est tout bonnement génial vu le but propre du jeu.
Cependant, ce point est quelque peu terni par une I.A. souvent incompétente et inefficace… Vous vous approchez d’une troupe ennemie pour que celle-ci fasse de même. Une fois qu’ils vous ont encerclés, vous avez le temps de fumer une petite clope et de boire votre café tranquille avant que le premier courageux essaie de vous mettre un coup de lance. Dans le même principe, on aurait volontiers accueilli un mode deux joueur en coopératif ou alors en Versus. Histoire d’augmenter un peu la faible durée de vie du jeu. Mais déjà un peu plus de combattants dignes pour venir en aide au millier de pantins ennemis qui arpentent chaque niveau aurait été déjà pas mal.
C’est vrai, d’un autre côté ce jeu est un défouloir tout ce qui à de plus primitif et barbare. Pour cela Devil Kings rempli bien son contrat. Avec un nombre impressionnant d’humains sur la terre à conquérir, et également par une ambiance très typée. Les graphismes et la bande son ne cassant pas des briques, ils n’ajoutent et n’enlèvent rien au soft. Cependant, ça ne sert à rien de tenter une quelconque tentative d’embuscade en passant par les rares herbes hautes. Car l’I.A. Réagit dés que vous entrez dans son périmètre. Et c’est encore une fois bien dommage.

En gros, si vous avez besoin d’un défouloir tout ce qui a de plus banal, courrez arme en main acheter ce jeu. Ils vous divertira quelques heures, et est un bon complément à Samurai Warriors. Cependant n’oubliez pas que ce jeu possède quelques défauts assez déroutants et agaçants à la longue. Mais bon… Je vous laisse maintenant libre de choisir. Les armes sont dans votre camp

Testé sur PlayStation 2 par x-trend

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> Scénario 0/10    
 
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> Note finale 7/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / Aventure
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Capcom Japon
Développeur: Capcom Japon
> PAROLE DU RÉDACTEUR