Oyé, braves joueurs, le nouveau cru de Pro Evolution Soccer nous est enfin parvenu et c’est avec un immense plaisir non dissimulé que nous allons vous en parlez ! Son principal rival, FIFA 2007 d’EA Sports n’a qu’à bien se tenir. Comment rester objectif sur un titre comme celui proposé par Konami ? Difficilement je vous l’accorde, car au niveau maniabilité et construction du jeu PES a toujours été en dessus de la concurrence.
L'innovation avant tout !!!
Après plusieurs années d'existences et de multiples récompenses, les développeurs n'ont jamais cessés de remettre leur bébé à jour. Le dernier né de la firme nippone, est doté de grandes innovations temps sur le plan des graphismes, de l’animation que sur la maniabilité irréprochable. Cette édition a été totalement remodelée par rapport aux éditions précédentes en laissant la par belle à une nouvelle défense adverse beaucoup plus aboutie, rendant le jeu plus ardu qu’auparavant. En effet vous ne deviendrez pas un expert en deux matches, même pour les vieux joueurs de la veille qui vont devoir revoir leur style et leur façon de marquer à la hausse. En effet, les défense sont plus faciles à passer qu'auparavant. Mais du coup, la votre aussi. Donc chaque erreur se paie conmptant. Chose assez frustrate dépends certaines situations.
Une tonne de mise à jour
Konami pour cette édition n°6 s’est offert avec beaucoup de mal des nouvelles licences de championnats européens : La ligue anglaise, la ligue 1 française, la série «A» italienne, l’eredivisie hollandaise, la ligue espagnole et un mélange classé de différents clubs de tous les coins du vieux continent, sous les appellations « autres ligues A et B». La plupart de ces clubs exigeront de passer par l’éditeur pour modifier les noms des joueurs et de les remettre dans des bonnes conditions originales pour les puristes. Mais pour l’essentiel des gros clubs comme la Bayern Munich, le Benfica, Arsenal, la Juventus, Manchester United, le Bayern Munich, tous profitent d’une adaptation fidèle à l’écran. Les grosses équipes nationales n’ont pas été oubliée pour autant, et elles ont enfin gagné en crédibilité en proposant enfin des licences officielles pour la plupart d’entres elles avec leurs véritables maillots. Des nouvelles équipes font aussi leur apparition au détriment d’autres qui disparaissent comme la Chine par exemple. Une occasion de pouvoir s’amuser un petit coup avec des équipes inédites présentes lors du dernier mondial comme Trinité-et-Tobago.
Deluxe édition
POur l'aspect graphique de la machine, c'est propre. Les joueurs évoluent de manière très fluide sur le terrain, et sont assez facilement reconnaissables selon leur prestige. Un Buffon par exemple, plus charismatqieu et connu qu'un Frei, sera automatiquement plus facile à reconnaître. On s'en serait douté.
L'ambiance dans les stades s'est revu également à la hausse. On se trouve alors dans des parties beaucoup plus immersives qu'au paravant. De plus, les animations de fautes ou de but sont assez bien réalisées dans l'ensemble pour une PS2, ce qui rend le tout très homogpne et jouissif !
Le titre propose une bonne quantité de championnats et de coupes différentes.
Proposant de participer à une sorte d'éliminatoires de la Coupe du Monde et à des matchs à sélection aléatoire. Dans ce dernier un échantillon de 23 joueurs sera formé pour former une nouvelle équipe juste pour un match. Comme pour son édition précédente, PES6 propose un mode On-line très abouti et simple d'utilisation. Vous pourrez jouer contre les joueurs du monde entier alors que vous êtes tranquillement assis dans votre canapé. C'est Madame qui va pas être contente !
Fast foot !
La maniabilité bénéfice de dribles et d’autres mouvements réalisables à l’aide du stick analogique droite ainsi que les possibilités techniques de jouer à une touche de balle, de passer en une-deux et en profondeur. Tout ça pour afin être le plus précis possible selon le possesseur de la balle. Les gardiens sont tous dotés d'une IA digne de leur modèle physique et leurs réactions sont beaucoup moins prévisibles. Sur le terrain, les déviations du ballon à elles seules peuvent changer la trajectoire d'une passe ou d’un tir. La gestion des blessures permet d’offrir un équilibre au niveau du physique et des proportions de chaque joueur présent sur le terrain. Un Ronaldo reste un Ronaldo par exemple, avec toute sa pêche. Cependant, l'équipe d'Italie bénéficie inégalement d'une force et d'un tonus hors pair. Tous les joueurs sont des armoires à glace, et ils savent tous tirer du mauvais de manière plus que convenable. Seul autre joueur bénéficiant de ce traintement de faveur, le jeune Ribery à la cicatrice marquée vous dit Merci !! Difficile à marquer pour des joueurs de plus petites envergures. Mais attention quand même, aux contacts trop violents pour ne pas se retrouver blesser lors du prochain match de votre équipe.
Tous au stade !
Autant le dire tout de suite, les niveaux graphique de la PS2 ne sont pas aussi puissants que sur une XBOX 360. Pour cela, certains détails graphique ont été revus à la baisse. Mais le jeu ne reste pas moins immersifs. Autant dire que sur des enceintes de home cinéma la retranscription est fantastique. Pour les commentaires sportifs, ce n'est pas encore demain que ceux-ci seront de qualité. Ils sont à oublier d'urgence! Cette dernière simulation de foot nous a véritablement laissé sans voix. Si vous êtes fans de la série, vous avez déjà ce titre dans les mains, et je me demande ce que vous êtes en train de faire ici au lieu de faire une dernière partie avec des amis ! Pour les autres qui hésitent encore, entre EA Sports et Konami, il n'y a pas photo !!! D'autant plus que le nobre de license officielle commence à devenir convenable. Donc plus d'excuses stupides pour vous procurez la bombe du football du moment !
Testé sur PlayStation 2 par x-trend et par Evil
