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Canis Canem Edit
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
9/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 2
Sur PlayStation 2

Les

+

> Détails graphiques plus soignés.
> Animations fréquentes.
> Voix en pur anglais avec l'accent de la mort !
> Evolution du personnage continue.
> Une liberté d'action conséquente.
> L'école, c'était bien !
 

Les

> Une carte revue à la baisse.
> Un juke-box très limité.
> Les pions parfois éreintants.

Rockstar récidive tel un petit gosse effronté en nous concoctant un nouveau GTA-like. Cette fois-ci, il n’est plus question d’une ville entière avec comme protagoniste un beau gosse latino-américain touffu de la poitrine... Non, non. C’est l’école qui sera votre terrain de jeu.

Vous êtes « Jimmy » Hopkins. Agé de 15 ans et ayant quelques faux airs de Wayne Rooney. On se demande d’ailleurs si la ressemblance est volontaire car vous avez tout du parfait petit fouteur de trouble. Agression, vols, tapage... Toutes ses choses ne vous sont pas inconnues. C’est pourquoi le beau-père que vous ne portez pas en odeur de sainteté vous envoie à la Bullworth Academy. Là où sont formés les hommes de loi et de marché de demain. Les plus grands. Chose qui vous fait bien rire parce que vous savez pertinemment que l’image donnée par l’école n’est que foutaises et autres mensonges. Vous voilà alors à l’intérieur de l’un des bahuts comme on peut en trouver d’autre. Sauf qu’ici, celui qui fera les crasses, c’est vous.

Impossible de parler de Canis Canem sans évoquer une fois dans mon test une quelconque ressemble avec son grand frère GTA. Normal, même éditeur, même publisher, et même principe. Sauf que ce nouveau titre apporte son lot de satisfaction et de fraîcheur. En dépit bien sûr d’autres petites choses intelligemment compensées tout de même... Tour d’horizon.

Tout d’abord, on est surpris par le travail graphique apporté à Canis Canem. Ca reste dans le style GTA, mais avec un bon petit plus. Les décors sont soignés et les personnages travaillés. De plus, ce soft regorge un nombre incalculable de petites animations très bien faites et assez drôle. Suffit d’aimer l’humour de collège. Cette amélioration graphique se permet de rétrécir la taille de la carte. C’est plus petit, mais bien compensé puisque la plupart des déplacements ne se font qu’à pied, skateboard, vélo ou scooter. Ce qui permet des temps de déplacement assez bien gérés sans pour autant avoir l’impression de faire trente six fois le tour de la map en 10 minutes.

Comme je le disait précédemment, on retrouve beaucoup de ressemblances avec les GTA’s. On commence tout d’abord avec une toute petite partie de la carte. Puis chaque parcelle supplémentaire s’obtient en achevant un certain nombre de mission, le tout couronné par un Boss. Une fois cela fait, il vous sera possible d’aller plus loin. Ce principe expliqué ici très simplement reviendrait à dire que le jeu n’est qu’une succession de missions que l’on doit faire pour arriver au grand salut, à savoir le respect total des divers groupes du bahut. Et ben Quenini !!!!
Une journée commence à 8h00 du matin. Comme vous n’êtes qu’un élève, il vous faudra passer quelques cours. Chimie, Anglais, Techno, Dessin et autres. Sous formes de mini-jeux, ces cours vous permettront d’obtenir des objets et compétences supplémentaires nécessaires à l’évolution de l’histoire. Il vous faudra exécuter ses deux cours par jours obligatoirement. Mais rien ne vous empêche de sécher au risque de vous faire coincer par les pions. Si un d’eux vous attrape, vous filez directement au cours. D’ailleurs, ce système de pion est assez bien foutu quoi que un peu restrictif par moment. Chaque infraction (intrusion dans les toilettes des filles, crochetage de casier, violence avec arme, etc… vous fera monter une jauge. Plus cette jauge est remplie, plus vous êtes recherché par ces gardes. Heureusement, des planques sont disposées un peu partout et vous permettre d’attendre bien sagement que votre taux de « criminalité » redescende.

15h30 : Heure de délivrance.

Ca y est. Les cours sont maintenant terminés pour la journée. Mais celle-ci ne s’arrête pas là pour autant... Loin de nous les clichés de l’élève model que nous devions être à notre jeune âge. Car dans Canis Canem Edit, la fin des cours rime avec début des missions et autres aventures. Les objectifs principaux, marqués d’une étoile jaune, vous permettront de continuer le fil de votre histoire et d’ouvrir quelques nouvelles parties de la carte. S’ajoutent à cela plusieurs missions secondaires. Des gens de l’école viendront vous demander un service. Parfois embarrassants voir même dangereux pour vous. Mais en tant que bon nouveau copain, vous prendrez un malin plaisir à faire une crasse à la place de quelqu’un d’autre. Si, si vous cachez pas !!! Je vous ai reconnu !
Une fois la ville ouverte, vous pourrez aller faire deux trois petits jobs par ci par là histoire de gagner un peu d’argent. Argent nécessairement à l’achat d’habits et autres accessoires assez pratiques. Bien sûr, ce n’est pas le nombre de mission qui manque, mais je vous laisse découvrir le reste. Je tiens simplement à vous dire que ce jeu regroupe un nombre incalculable de missions en tout genre. Qui à dit que l’école n’était pas une source d’inspiration ?

Si tout fois vous arrivez à vous ennuyer avec ça, il ne vous reste plus qu’à airer dans la carte sans but. Vous pourrez à tout moment interagir avec les gens qui vous entourent. Un système de dialogue simple et intuitif vous permettra soit de dire ou faire quelque chose de bien ou pas. Ce système change également en fonction de la personne en face de vous ainsi que de son humeur. Vous pourrez alors offrir un cadeau à une fille qui vous plait, ou encore vous excuser auprès de quelqu’un s’il vous cherche des noises. A noter également que vous pourrez avoir des conquêtes féminines durant votre séjour à Bullworth Academy... Débauche totale en perspective !!

Le but de Canis Canem Edit est de construire votre réputation et gagner le respect de toutes les personnes qui vous entourent. Le king of the Bahut !!!
Vous trouverez plusieurs groupes d’étudiants : Les fayots, les caïds, les sportifs, les blousons noirs j’en passe et des meilleures. Chacun de ces groupes sa particularité. Les uns seront fadas de jeux de rôle et feront partie du club de science de l’école, tant que d’autre traînent plus vers le garage et sont experts en cours de techno. Le but n’est donc pas de choisir votre camp, mais bel et bien de gagner le respect de tous ! Et pour cela tous les coups sont permis. On passera souvent par des phases de combat genre bagarre de rue. Plusieurs mouvement et enchaînements sont disponibles dés le début. D’autres viendront s’ajouter à la liste au fur et à mesure de votre avancée. Ce qui est très pratique. L’utilisation d’arme n’a pas été exclue. Ainsi que les petites farces et attrapes comme les boules puantes ou le sac de billes qui vous permettront de sortir parfois de situation plus délicates. On a pensé à tout chez Rockstar. Bravo !

Un excellent jeu à posséder rapidement. Une valeur sûre pour tout fan de GTA, et une grande découverte pour les autres, Canis Canem Edit nous replonge dans les cours de recréations et tout ce qui faisait de nous un délinquant juvénile pré pubère et boutonneux. Un excellent soft qui s’amuse à nous dire que « l’école, c’est drôle en finalité ».

Testé sur PlayStation 2 par x-trend

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 8/10    
 
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> Bande-son 6/10    
 
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> Durée de vie 9/10    
 
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> Scénario 9/10    
 
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> Note finale 9/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: GTA-LIKE
Age: dès 16 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Rockstar
Site officiel: http://www.rockstargames.com/bully/home/
Développeur: Take 2 Interactive
> PAROLE DU RÉDACTEUR