Au volant d'un taxi surréaliste, qui fait des sauts de 15 mètres et qui atteint allégrement les 200 km/h, vous devez amener vos passagers à bon port le plus rapidement possible en évitant les pièges de la circulation dans un temps limité. Crazy Taxi, c’est avant tout un jeu venu tout droit de l'arcade.
L’arcade dépasse les bornes
Cette deuxième version Dreamcast est quasi identique, à son prédécesseur. Au retrouve les charmes de l’ancienne mouture avec des graphismes un poil plus beau et les même genre de mission tordue. Cette fois c’est la ville de New York qui est victime des taxi-mens de Sega. Les deux partie de la ville sont dorénavant truffée de relief et le fait de pouvoir faire bondir son Taxi en pressant la touche « Y » permet de donner une dimension plus fun au livraison de client, en prenant tous les raccourcis possibles. Seule véritable nouveauté de cet épisode, la possibilité de prendre plusieurs groupes de passagers en même temps. Atteindre plusieurs destinations et les assurer en parallèle sa donne une bonne dose de stresse.
Taxi fou pour clients tarés
Crazy Taxi 2 se destine encore une fois aux joueurs solitaires, et la durée de vie n’est pas franchement exceptionnelle. Une fois la quinzaine de défis remporter et les bonus débloqués on termine le jeu en 3 heures à peine. Musicalement on à droit à du Offspring à plein tube et ça donne une pêche d’enfer au titre !
Testé sur Dreamcast par Evil