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Spy Hunter: Nowhere to run
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
5/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur PlayStation 2 - X-Box

Les

+

> Défoulant
> Durée de vie énorme avec la tonne de missions et de Bonus
> The Rock comme héros
> Bourrin
> Amusant
> Toutes les techniques de catch de la Star
> Les effets de lumière
> Mélange des genres
 

Les

> Ralentisements
> Graphismes dépassés
> Caméras
> Maniabilité approximative
> L'aliasing
> Nombreux bugs d'affichage
> Cinématiques intempestives et moches
> C'est très primitif

Midway pour changer un peu de registre entre deux Mortal Kombat, nous propose de redécouvrir, l’une de ces licences oubliées sous un nouvel angle cinématographique en s’octroyant les services du célébrissime « The Rock » alias Dwayne Johnson, acteur et lutteur à ces heures perdues, dans un Spy Hunter pas piqué des hannetons, où l’ambiance rappel étrangement l’univers des James Bond.

Histoire de taper

Certes le titre s’inspire du très british espion de sa majesté pour le concept de base et laisse bien sûr toutes réflexions et subtilité de cotés. Mélangeant les genres entre phases de conduite et d’exploration, le Spy Hunter nous entraîne dans une aventure violente et défoulante. Notre cher héros n’est pas simplement une reproduction polygonale de The Rock, car notre ami utilise également toute sa délicatesse et sa panoplie de coup qui l’on rendu si célèbre sur les Rings de la WWE.  Autant dire que les combats au corps à corps se transforment très vite en festival de baffes et en distribution gratuite de Rock Bottom, pour ceux qui connaissent.

Prmitif et fier de l'être !

Alex Decker (c’est son nom) est un ex-pilote de chasse au service du gouvernement comme agent secret. Lorsque une odieuse société secrète du nom de NOSTAR déclanche un plan visant à mettre la main sur les dernières innovations technologiques du gouvernement, y compris le véhicule d’espionnage le plus sophistiqué du monde l’INTERCEPTEUR. Cette voiture un peu particulière à de quoi faire passer la bonne vieille Aston Martin de Mr. Bond pour un jouet pour enfants. Equipée de lance missile, de laser en plus de l’équipement traditionnel, comme les flaques d’huile et les roues crénelées, le véhicule peut se métamorphoser en plusieurs type d’engin, Hydroglisseur, Moto, Avion en plus de la voiture de base, proposant des configurations pire qu’un « Transformer » qui aurait trop pris d’huile de vidange. Mélangeant les passages de pilotages et d’action pure, le titre nous propose des missions qui se suivent dans la continuité du scénario. Celui-ci est lui-même en pleines actions entrecoupées de cinématiques bas de gamme, qui viennent gâcher à tout bout de champs le rythme bourrin de l'aventure.

Total carnage

Notre cher ami en mode combat peut absolument tout porter sur ces énormes bras musclés, comme des tonneaux et bien sûr les pauvres ennemis qui se retrouvent vite transformés à leur tour en projectiles vivants. Coté armement, l’arsenal proposé à de quoi faire passer un agent des forces spéciales classiques pour un comique aux yeux de ce qui est proposé au joueur pour dessouder les méchants. De quoi tout faire exploser dans un halo de lumière poétique très subtile comme le jeu. Heureusement qu'il y a de quoi faire fonctionner les 3 neurones montés en réseau de ce cher Alex. Heureusement, que certains passages demandes de résoudre quelques petits puzzles assez simples, histoire de faire bonne impression et de remplir la répétitivité de l’action. Un petit coté infiltration est presque palpable par moment, car notre gaillard peut se coller dos au murs, et même employer des tactiques d’approches. Coté conduite on ne peut pas vraiment dire que c’est irréprochable, mais plutôt tout le contraire. Cette dernière est plus approximative qu’efficace, servie par une sensibilité de la manette analogique trop chaotique pour vraiment être appréciable, surtout que niveau vitesse, sa défile vite et que les adversaires ne font pas de cadeaux non plus. Le pire provient surtout des caméras qui se placent n’importes comment dans tous les modes de jeu. Autant dire qu’il faut mieux garder des nerfs d’acier pour ne pas exploser la manette de rage, surtout que les ralentissements fréquents viennent en plus saboter leurs déplacements.

La chasse est ouverte.

Visuellement les graphismes sont sobres et fades sans vraiment montrer de prouesses extraordinaires. Certains stages, sont plus réussis que d’autres, l’égalité de traitement ne fait visiblement pas partie du langage de l’équipe de développement. Heureusement que les effets pyrotechniques et spéciaux rehaussent les niveaux.  Reste un doublage français de qualité et une bande-son correcte.  Malgré tous ces défauts, Spy Hunter peut se venter d’être un jeu moche, mais prenant. Autant techniquement le soft est totalement à coté de son sujet, autant le gameplay simple permet de s’éclater rapidement sans vraiment savoir pourquoi on y joue, il faut dire que c’est fun et que de balancer des grands coups de savates apporte une certaine jouissance intérieure. Bref ce n’est pas encore l’Hymalaya, mais les idées présentes en font un titre amusant sans plus. A voir…

par Evil

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 6/10    
 
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> Bande-son 6/10    
 
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> Durée de vie 9/10    
 
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> Scénario 4/10    
 
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> Note finale 5/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / Aventure
Age: dès 16 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Midway
Site officiel: http://www.thespyhunter.com
Développeur: Terminal Reality
> PAROLE DU RÉDACTEUR