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Dragon Quest VIII : L'odyssée du roi maudit
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  Note générale
GamesUP.ch
9/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 2
Sur PlayStation 2

Les

+

> Monde immersif
> La touche Toriyama !
> Les quêtes secondaire
> Durée de vie démoniaque !
> Le charisme des protagonistes
> L'ambiance
> Les graphismes
> La grandeur de la carte
> Chasser des créatures pour les utiliser ensuite
> Créer ces armes et ces équipements
 

Les

> Scénario de base pas franchement original
> L'interface des combats un peu vieillotte
> Les combats aléatoires trop nombreux

Vendu à plus de 24 millions d’exemplaires au Japon et aux Etas-Unis, la série des Dragon Quest, a donné toutes ces lettres de noblesse aux trois lettres du mot R.P.G. Précurseur dans le domaine depuis 1986, la série n'a jamais fait faux bon aux joueurs japonais, qui à chaque sorti d’un nouvel épisode, désertent travails, écoles et universités, pour le seul bonheur de faire la file d’attente devant les boutiques spécialisés. Un phénomène, qui a même imposé un décret du gouvernement nippon, interdisant aux écoliers de courber les cours. Aujourd’hui, son seul véritable rival, la saga Final Fantasy est la seule autre licence à pouvoir l’égratigné dans le milieux.

Petite historique

La série est née sous l’imagination de Yuji Horrii, un ancien journaliste de la presse jeunesse nippone. Il fit ces débuts chez Enix en 1982. S’associant avec l’un des plus célèbre des mangaka actuel, j’ai nommé Akira Toriyama. Il n’en a pas fallu plus pour que naisse le premier opus de la saga sur Famicom (NES) en 1986. Depuis la collaboration entres les deux hommes continues de plus belle à chaque épisode. Le papa de Dragon Ball fit donc sa première incursion dans le domaine du jeu vidéo à cette grande époque. Il aura tout de même fallu 20 ans d’attente, pour voir enfin débarquer un épisode de la série Dragon Quest en Europe. Mais pourquoi temps de temps ? Trop japonais pour certains, univers trop riche pour d’autres et quoi encore ? Le pari semble pourtant osé de la part de Square Enix, de produire un jeu d’une telle envergure. Le public habitué à des mélos drames à la Final Fantasy, risque d’être largué par ce soft ou le héro est l’attraction principale du scénario. Dragon Quest est avant tout un jeu ou vous construisez votre personnage et sa personnalité. Oubliez les histoires à l’eau de rose et prenez en main la destiner du monde.

Mise en bouche

L’histoire débute par le vole d’un sceptre sacré, par un abominable sorcier du nom de Dhoulmagus. Suite à ce méfait, une terrible malédiction a transformé les habitants de la ville adjacente en statue de pierre. Dans le chaos créé, trois survivants en réchappent. Le roi, la fille du rois et le garde royale (vous). Mais manque de pot le maléfice a quand même métamorphosé le roi et sa fille en créature. Ainsi nos amis se partent en quête pour retrouver le sorcier afin d’inverser le sortilège. En route, nos amis rencontrent un bandit de grand chemin, qui se joint à leur aventure. Par la suite un Casanova de service et une charmante jeune magicienne, rejoindront votre petit groupe d’aventurier. Chacun a au cours de l’histoire son petit moment de gloire sous le feu des projecteurs. Même le petit animal qui accompagne l’équipe, peut également se targuer de faire partie intégrante de cette fable moyenâgeuse et fantastique. A travers vos périples vous allez retrouver comme principaux ingrédients, l’humour, la tendresse et pleins de rebondissements. Tout du long, l’action vous plonge dans diverses régions, donjons et villes. Ici, il n’est absolument pas question de carte vu de haut, ou votre petit bonhomme traverse des étendues réduites. En effet, le monde de Dragon Quest 8 est à l’échelle tout du long de la partie. Chaque forêt, montagne et autres lieux peuvent être visités librement dans des proportions réelles. Parcourir la carte du jeu à pied demande des heures et des heures de déplacement, le tout rendu difficile par l’apparition de monstres toutes les 15 secondes. Un autre ingrédient vient semer sa zizanie : le jour et la nuit s’intercalent toutes les dix minutes, augmentant encore la difficulté de la progression. Les monstres la nuit son beaucoup plus voraces et plus difficiles à battre. En plus de la quête principale, il est possible de se promener et de faire des tonnes de missions annexes. Niveaux équipements, les armes et armures sont customisables. Les meilleures ne sont pas forcement celles que vous allez acheter dans les divers magasins que comporte le jeu. Il vous est possible de les créer de toutes pièces, sur le principe de l’alchimie en mélangeant certains ingrédients, vous obtenez des équipements surpuissants. Mais attention, car certains éléments sont rares et si vous les utilisez n’importe où et n’importe quand, vous risquez de ne pas pouvoir vous forgez des objets de légende. Au fil de vos quêtes il vous est possible également de capturer des créatures pour les utilisés dans l’arène des monstres, ou comme dans un Pokémon, vous allez pouvoir défiez d’autres créatures face à celle que vous aurez pris soin de faire évoluer.

Longue aventure, très longue aventure

Le système et l’interface du soft, se confinent dans ce qu’il y a de plus classique dans le genre. Les combats se déroulent toujours au tour par tour, et les monstres vous tombent dessus toujours de la manière la plus aléatoire possible. Les menus sont d’une sobriété et d’une clarté exemplaire. Naviguer entres les différentes interfaces ne pose aucun problème et ne rebutera donc pas les habituez du genre. Nos personnages peuvent faire appellent à une attaque spéciale, pendant un affrontement du nom de Tension. Cette aptitude vous donne une tête de San Goku énervé, et vous permet de frapper vos adversaires de la façon la plus magistrale possible. Techniquement le titre propose des graphismes chatoyants dignes d’un très bon dessin animé. La patte du créateur de DBZ rend tous les protagonistes visibles attachants. Les fans de Toriyama trouveront également quelques allusions à son immense œuvre. L’animation est réussi et les environnements à explorer sont magnifiques. Pour l’occasion de sa sortie européenne des voix digitalisées ont été rajoutées et la bande-son a été totalement modifiée, les musiques tapent maintenant dans le registre symphonique. Coté durée de vie, ne prévoyez rien pour les 150 prochaines heures, car le terminer à 100% demande un temps considérable. Difficile de lâcher la manette tellement le jeu est prenant. Bien qu’âgé déjà de 2 ans (Ndlr : Et oui 2 ans déjà qu’il est sortie au Japon LOL), Dragon Quest donne encore une bonne leçon aux genres. Simplicité et efficacité, font du titre de Square Soft un incontournable dans l’univers des jeux de rôles consoles. Un excellent titre réservé à tout le monde. Tout bon joueur de jeux vidéo se doit de le posséder dans sa ludothèque. Un achat indispensable !

Testé sur PlayStation 2 par Evil

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 8/10    
 
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> Bande-son 8/10    
 
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> Durée de vie 10/10    
 
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> Scénario 0/10    
 
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> Note finale 9/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: RPG
Age: dès 3 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Square Enix
Site officiel: http://www.dragonquest.eu.com/
Développeur: Level 5
> PAROLE DU RÉDACTEUR