Disponible au Japon et sur Internet uniquement, Segagaga est un titre incroyable et indescriptible à la fois. Ou comment la firme nippone péte un câble et se parodie dans une sorte de RPG, ou votre mission consiste à diriger Sega pour devenir le leader du marcher des jeux vidéo. L’autodérision atteint ici des sommets. Développé par les créateurs de Virtua Tennis, le jeu vous place en 2025, Sega ne possède plus que 3% du marché. Votre mission faire de la firme d’Haneda le numéro 1 du domaine en éliminant votre concurrent direct la Firme Dogma qui détient plus de 97% des parts de marché.
Parodie à gogo
Le jeune Taro est chargé par le PDG de Sega de mener à bien le projet de relance de Sega en lui donnant carte blanche pour faire de Sega le leader ou alors ils seront obligés de mettre la clé sous la porte en abandonnant le hardware. Notre héro sera épaulé d’une jeune fille.L’immeuble de l’entreprise est impressionnant et à la pointe de la technologie. Après un petit briefing, une scène dévoile la conception et l’architecture de l’entreprise SEGA. Ainsi, que le noyau qui se prénomme le TeraDrive Les protagonistes ont tous un style manga, l’assistante du directeur sera là pour briefer les différents choses importantes. La première chose à faire est d’enrôler de nouveaux employés dans les différents départements du building. Seulement pour convaincre les développeurs de rejoindre votre équipe, il faudra le faire au terme de combats, au tour à tour à grands coups d’onomatopées. Si il y a un chose à éviter dans le titre s’est de tomber au champs de bataille. En effet vous ne reviendrez qu’au bout de 30 jours et bien sûr dans le milieu des affaires cela permet à Dogma de sortir des produits avant vous.
Non japonais tu risques gros
Ce qui il y a de plus complexe pour un nom japonais dans le soft c’est de devoir gérer les salaires, la motivation des employés, les accomplissements des tâches etc. Faire une équipe de bosseur et qui travail ensemble n’est pas chose facile ma fois. Chacun ayant ces caractéristiques propres. Gérer à ce niveau pour un joueur occidental devient pratiquement impossible sans une solution sur
www.gamefaqs.com . Techniquement le design est réussi et les graphismes sont colorés et l’animation se situe dans le minimum syndical. La musique est sympathique et vous trottera dans la tête un bon moment. Le contrôle des protagonistes n’est pas compliqué seul la langue pose des problème de compréhension vive le japonais LOL. Lot de consolation le titre est plein de parodie et de clin d’œil en vers l’univers Sega. Gérer la conception d’un soft et la commercialisation d’une console tel est votre mission dans se titre extraordinaire mais qui est malheureusement resté au connaissance unique de nos amis gameurs de l’empire du soleil levant. Dommage car avec un titre pareil localisé en Europe ou aux Etats-Unis, Sega aurait réussi à faire un carton auprès des joueurs occidentaux fans de Sega.
Testé sur Dreamcast par Evil