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| Ni No Kuni 2 : L'avènement d'un nouveau Royaume Switch |
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Note générale
GamesUP.ch |
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8.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Nintendo Switch |
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| Sur Nintendo Switch - Ordinateur - PlayStation 4 |
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COMMENTAIRES |
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| Impossible de rester de marbre devant ce deuxième opus de Ni No Kuni. Le studio Ghibli n'est plus aux commandes de la partie esthétique, car ils n'ont pas eu l'envie de retravailler dans l'univers du jeu vidéo pour l'instant, mais Level-5 a eu la grande idée d'embaucher un ancien employé du studio pour s'occuper du character design et aider à la réalisation artistique du titre. Résultat ? Il est presque imperceptible que le studio Ghibli n'est plus de la partie tant l’œuvre transpire le respect pour les bases qui ont été posées par le premier opus. On dénote quand même quelques fautes de goût, qui n'étaient jamais présentes dans le premier opus, comme une carte du monde bien plus fade que par le passé, ce qui est vraiment dommage. On dénote aussi quelques donjons un peu fades, ce qui n'était jamais arrivé avec le premier Ni No Kuni, mais pour le reste c'est du tout bon ! Les villages que l'on visite ont chacun une identité esthétique très forte et rien que cela nous donne envie de progresser pour voir à quoi ressemblera la prochaine halte de notre petite équipe d'aventuriers. Attention tout de même, cette version Switch est proche des versions PS4 et PC, mais tout de même un peu moins raffinée. On dénote par exemple un peu d'aliasing et des baisses de framerate, ce qui n'était jamais le cas sur PS4 ou un PC correct. |
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| Ni No Kuni 2 : L'avènement d'un nouveau royaume n'est pas un jeu très violent par nature. Il arbore quand même quelques thèmes sérieux sous ses airs de dessins animé tout gentillet. Le PEGI recommande le jeu pour les 12 ans et plus. |
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Oubliez le système de combat qui hésitait entre le tour par tour et le Rpg d'action à la Tales Of, Star Ocean et compagnie. Ici on est dans la deuxième catégorie à fond les manettes et le système de jeu peut enfin entièrement s'articuler autour d'un axe bien défini, ce qui apporte une plus grande souplesse et vivacité au titre de Level-5. Au contraire du premier opus ou tous les combats héritaient d'un écran de chargement de transition entre les phases d'exploration et de combat, ici les combats s'enclenchent sans coupure en dehors de ceux de la carte du monde. Le titre de Level-5 réussi avec brio la ou Tales Of Zestiria et Star Ocean V se sont cassés les dents. Pour ceux qui connaissent les titres dont on parle, sachez qu'ici les problèmes de caméra sont inexistants et que tout se déroule à merveille. Certains trouveront que les transitions entre scène d'exploration sur la carte du monde et les combats gênent un peu, mais de notre côté on trouve que cela garde un certain charme et fait une référence directe au premier opus. Il n'était d'ailleurs pas possible de faire autrement que de cette façon pour pouvoir proposer des combats sur une carte du monde à taille réduite. Une fois en combat il faut savoir alterner entre les différents types d'attaques, qui ont chacune des avantages et des désavantages, esquiver, maintenir son équipe en vie en plus de gérer les « Mousses », qui sont des petites bestioles qui permettent souvent de profiter d'attaques vraiment sympathiques ou de zones de soutiens en plein cœur d'un champ de bataille. Le système fonctionne vraiment bien et vient même chatouiller les plates bandes d'un Tales Of .
Le mode bataille est un des nombreux systèmes que le jeu accueille et il s'agira donc de partir sur la carte du monde et gérer son équipe à la façon d'un STR, afin de protéger son royaume. Il ne faut pas s'attendre à un Age Of Empires, mais les combats font le job et ont le mérite d'apporter un peu plus de diversité au jeu. Cette fois-ci Level-5 nous propose un système pour construire son propre royaume et c'est quelque chose qui semble vraiment tenir à cœur à ce développeur. Certains parleront de Suikoden, mais de notre côté on fera une référence évidente à Dark Cloud et Dark Chronicles, qui sont les deux premiers jeux du studios et qui possédaient chacun un mode de construction de villes. Le tout fonctionne bien et on est rapidement pris au jeu. On se surprend en train d'errer dans les rues de notre royaume pour vérifier si tout va bien ou bien encore prendre des quêtes de villageois pour améliorer une infrastructure précise. Ce qui fait la force de Ni No Kuni 2 c'est bien cette relative harmonie qui existe entre les divers mécanismes de jeux qui font un tout solide et cohérent. Les menus quant à eux sont d'une grande clarté et très ergonomiques. Tout est fait pour rendre cette œuvre agréable à parcourir. Il suffit de regarder les ennemis à bas niveau s'écarte de son chemin pour comprendre que tout a été étudié pour être le moins rébarbatif possible et c'est tant mieux. |
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| Joe Hisaishi le célèbre compositeur a rempilé une deuxième fois pour donner sa petite touche Ghibli au titre de Level-5 et c'est une fois de plus une réussite ! Son grand talent combiné à l'orchestre philharmonique de Tokyo donne un résultat superbe. Le seul regret ? On aurait aimé quelques pistes de plus bien entendu ! Le doublage japonais est inclus d'office dans le jeu et le doublage anglais s'en sort pas trop mal, même si on préfère largement le doublage japonais, qui fait intervenir des acteurs renommés au japon et qui donnent tout ce qu'ils ont pour coller le plus possible au personnage interprété. |
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| En ligne droite ce deuxième Ni No Kuni n'est pas le plus long des RPG, mais ce dernier peut également devenir bien plus long que prévu si on s'attarde sur son mode royaume, qui peut vite devenir addictif. Attendez vous à passer une quarantaine d'heures de jeu à arpenter les terres de ce splendide monde et le tout sans faire une tonne d'ennuyeux aller-retour grâce au système de téléportation bien pensé. La progression du jeu est toujours assez fluide et l'ensemble des différents systèmes de jeu sont suffisamment intéressant et bien imbriqués à l'ensemble pour que l'on continue à jouer sans se lasser. En ligne droite on peut quand même critiquer le titre pour sa relative facilité, même si le post game relève heureusement un peu le niveau. Beaucoup semblent critiquer la difficulté globale du jeu, mais il faut mentionner que les Boss cachés du jeu sont relativement retors ce qui sauvera le jeu aux yeux des gamers plus exigeants. On regrette le manque de bonus de cette version Switch qui aurait mérité d'avoir pourquoi pas un donjon de plus ou quelque chose du genre. Les joueurs devront se contenter des divers DLC sortis à l'époque qui sont d'office sur la galette dans cette version. |
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| L'histoire de Ni No Kuni 2 : l'aube d'un nouveau royaume est assez classique dans le fond, mais arrive quand même de temps à autre à surprendre le joueur expérimenté. On apprécie de revoir ces derniers temps débarquer des RPG japonais avec une histoire bien racontée, des enjeux sérieux et des personnages intéressants. Le petit aspect politique mis en avant dès le début du jeu est également agréable et donne un peu plus de consistance au monde de Ni No Kuni. Ce deuxième opus se déroule 300 ans après le premier et cela permet donc de se lancer dans l'aventure sans avoir besoin d'avoir joué au premier jeu. Mention spéciale à la traduction française qui est absolument exemplaire et qu'on est vraiment content de voir dans un tel jeu. Merci Level-5 et Bandai Namco ! |
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| Ni No Kuni 2 : L'aube d'un nouveau royaume est au niveau de tout ce qui peut toucher au plaisir de jeu bien meilleur que son prédécesseur. L'accent a été mis par les développeurs de Level-5 sur l'accessibilité, la diversité et l’ergonomie, mais le nouveau Ni No Kuni est surtout différent de son aîné par bien des aspects. On perd au change certaines choses, comme la sublime carte du monde pour une un peu plus tristounette, la beauté de certains donjons annexes, qui auraient été dans le premier opus chatoyants et qui ne sont ici que moyennement convaincants, mais cela en vaut quand même la peine quand on se donne la peine de compter un par un tous les mécanismes, qui s'intègrent d'une jolie manière à cette nouvelle épopée. En un mot comme en cent, on est sans aucun doute devant un Rpg solide. Dans cette version impossible de reprocher la relative facilité du jeu en mode normal, car le jeu dispose d'office de plusieurs mode de difficulté pour contenter les joueurs plus acharnés. |
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