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Dragon Ball Z : Kakarot
  PHOTOS   VIDÉO
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
7.5/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 4
Sur PlayStation 4

Les

+

> L'ambiance Dragon Ball Z.
> Explorer un grand nombre de lieux emblématiques en volant c'est possible.
> C'est très coloré et fidèle au combo manga / animé.
> Système de combat sympathique.
> Différents personnages jouables.
> Quelques musiques originales de l'animé.
> Les voix originales japonaises disponibles.
 

Les

> Quêtes annexes pas très intéressantes.
> Temps de chargements parfois un peu intempestifs.
> Manque de profondeur générale du système de combat.
> Mini-jeux qui ont le mérite d'exister, mais qui ne sont pas très profonds pour finir.
> Un certain manque de mis-en-scène dans certains passages pourtant importants de l'histoire.
> Les émotions sont moins fortes que dans l'animé la plupart du temps.
> Traduction française un peu bancale.

Dragon Ball Z : Kakarot est un projet qui a dès son annonce tout de suite attiré notre attention. Il faut avouer que que l'idée d'un jeu à la sauce action et rpg en tout en 3D retraçant toute l'histoire de Dragon Ball Z avait de quoi en faire saliver plus d'un a la rédaction, surtout quand on découvert que le responsable du projet n'était autre que Cyberconnect 2, qui par le passé a œuvré sur les adaptions les plus fidèles de Naruto. On nous a promis de pouvoir explorer le monde de Goku et ses amis, ainsi qu'un grand nombre d'activités différentes en dehors des combats. Promesse tenue ?

Testé sur PlayStation 4 par Squall

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> Graphisme 8/10    
On ne peut pas dire que Dragon Ball Z : Kakarot est désagréable à contempler. On n'est en aucun cas face à un niveau de fidélité aussi grand auquel Dragon Ball Fighter Z nous a habitué, mais il ne faut pas non plus faire la fine bouche quand on sait que la totalité des zones de jeux explorables sont assez grandes et que l'ensemble se déroule plus ou moins toujours en temps réel sous nos yeux. Il suffit qu'un combat se déclenche dans une des différentes régions du jeu et cette dernière devient dans son entièreté l’arène d'une lutte acharnée. Il est possible de prendre les ennemis pour les envoyer valser dans les falaises dont certaines sont destructibles ou encore les envoyer dans la mer. Sans être une claque technique, le jeu de Cyberconnect2 sait faire son petit effet grâce à divers petits éléments fort sympathiques comme une distance d'affichage assez bluffante. Bien entendu, certains points sont un peu moins brillants, comme le fait d'avoir une planète terre découpé en diverses zones qui quand on décide de passer d'une à l'autre nous envoie un temps de chargement un peu rébarbatif dans les dents. Il y a aussi dans le lot deux ou trois textures un peu faiblardes quand on s'approche de trop prêt pour regarder les détails, mais rien de bien choquant en fin de compte. Ce qui ressort surtout de l'aspect visuel global, c'est que le jeu est quand même très coloré, ce qui est un point qui représente très bien l'animé. Plus important encore, l'ensemble de l'univers est fidèle au manga et à l'animé, ce que l'on est certain que les fans de la première heure apprécieront. On a particulièrement apprécié visiter la planète Namek, même si parfois autant sur terre que sur Namek on a un peu l'impression que le monde est un peu vide. Enfin, ce constat n'est pas tout le temps vrais, car il y a du mieux sur certaines parties du jeu à ce niveau comme avec l'arc Boo ou les villes sont un peu plus animées. Le jeu tourne de façon plus que correcte et on est sur un trente images par seconde relativement stable sur la machine de base de Sony. La Playstation 4 Pro quant à elle affiche 30 images par seconde sans sourciller, ce qui est une bonne chose. On est sur un affichage de 1980×1080 sur la PS4 de base et 2560×1440 sur la Pro. Il faut savoir que l'on est sur un affichage non dynamique, ce qui permet toujours d'avoir une image très nette sans perte de qualité quel que soit le moment. On a tout particulièrement apprécié la gestion des ombres dynamiques, qui fonctionnent très bien. Grâce à tout ce que l'on a énuméré, voler à travers les nuages, foncer dans la mer et détruire des petites falaises en les traversants est vraiment sympathique.
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> Violence 4/10    
Dragon Ball Z façon animé était relativement violent, a tel point qu'à l'époque de sa sortie il a engendré beaucoup de débats. Dragon Ball Z façon Kakarot, c'est quelque chose d'un peu plus édulcoré. Les scènes restent quasiment les mêmes que dans l'animé, mais le sang disparaît et les plus grosses blessures sont cachées. Pour cette raison le jeu obtient un PEGI+12 et rien de plus.
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> Jouabilité 7/10    
Kakarot n'est malheureusement pas un jeu aussi agile et versatile que peut l'être son héros. Dans les faits le titre de Cyberconnect2 est en réalité même assez limité. On est a des années lumières d'un système de combat aussi technique qu'un Dragon Ball Z : Tenkaichi, ou encore un Dragon Ball Fighter Z. On est sur un jeu qui se joue un peu plus à la façon d'un Kingdom Hearts, mais en un peu moins profond. La première fois que l'on prend le jeu en main on se dit qu'il est assez compliqué, mais en fin de compte, l'ensemble est assez simple, même parfois un peu trop. Les combats sont basés, sur un système de commandes qu’il est possible de customiser avec des attaques spéciales débloquées au fil de la progression de l'histoire ou encore grâce à l’expérience acquise. En résumé, dans la plupart des cas, on doit d'abord débloquer une compétence à l'aide d'une sorte de sphérier façon Final Fantasy X et dès que c'est fait, il est possible de l'installer sur une des quatre touches dédiées au compétences. Dans les fait pour utiliser les compétences installées en plein combat, il suffit d'appuyer sur L1 pour accéder aux compétences installées et appuyer sur laquelle on a attribué l'attaque. Il faut bien entendu assez de KI pour balancer une de ses attaques spéciales. Il existe en outre la possibilité de se battre via des simples kikohas, ou encore des combos de bases qui eux ne consomment rien et bien entendu il est possible de se mettre en posture défensive. Les combats sont dans les faits assez répétitifs, si ce n'est les Boss qui sont un peu plus travaillés. Heureusement la variété des compétences que l'on débloque au fur et a mesure de l'aventure, ainsi que le nombre de personnages différents que l'on incarne permettent de s'amuser sur le long terme et de ne jamais vraiment avoir le temps de s'ennuyer. Les combats en équipes de trois sont également un plus au niveau de la jouabilité, car il est possible de donner une fois toutes les trente secondes environ, un ordre à un allié. Ces moments sont les plus stratégiques et les plus amusants du jeu. On pourrait encore citer les compétences passives, ou différents minis-jeux qui sont tout au plus sympathiques, mais il vaut mieux découvrir cela en jeu. Divers systèmes de jeu ont été mis en place pour apporter un soupçon de variété en plus et on peut par exemple se nourrir pour hériter de différents bonus, ou encore remplir plusieurs tableaux avec des médailles trouvées, afin de bénéficier de certains bonus de statistiques. Malheureusement pour les joueurs la plupart des histoires annexes ne sont la plupart du temps que des quêtes annexes sans grand intérêt, mais le contexte aide grandement à en réaliser certaines, on apprend grâce à certaines des petites choses que ne sont pas dites dans Dragon Ball Z, ce qui est sympathique pour le fan absolu. Dragon Ball Z : Kakarot est donc fortement sympathique à jouer mis-à-part de temps en temps un petit problème de caméra ou l'autre, mais on aurait aimé que les développeurs puissent creuser encore plus le sujet, car on sent un grand potentiel inexploré.
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> Bande-son 8/10    
Pour la première fois en Europe, on bénéfice de quelques pistes de la bande son originale de l’animé de Dragon Ball Z, sans que l'on nous fasse payer un DLC. Bravo à Namco Bandai pour ce choix, car cela apporte vraiment un plus à l’ensemble de l’aventure. Il est tout simplement impensable pour nous de de zapper l’opening quand on allume le jeu. Les nouvelles musiques faites pour l'occasion sont dans le ton la plupart du temps, mais on attend toujours avec une certaine impatience qu’un thème de l'animé se fasse entendre. Les doublages japonais quant à eux sont disponibles avec les voix originales, ce qui est comme d'habitude un plus vraiment pas négligeable.
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> Durée de vie 7/10    
Dragon Ball Z : Kakarot n'est pas radin en contenu. On en a pour une quarantaine d'heure de jeu pour boucler l'aventure et facilement une dizaine de plus pour tout boucler. Le seul problème dans tout cela est que une certaine forme de répétitivité peut s'installer pour les joueurs les plus exigeants qui pourraient pester sur un système de combat manquant de profondeur ou la présence de quêtes annexes peu engageantes. Par contre ceux qui ont besoin d'une excuse pour revivre l'expérience DBZ dans sa quasi intégralité, ce jeu est alors un véritable pain béni.
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> Scénario 7/10    
Difficile de noter ce point tant l'histoire de Dragon Ball Z est culte. Tout dans l'animé transpire la classe et les meilleurs passages sont ici conservés, ce qui fait que quoi qu'il arrive on est captivé une fois de plus par cet univers. On regrette simplement que certaines scènes manquent clairement d'émotions comparés à l'animé à cause par exemple d'une musique qui manque, d'une mise en scène simpliste, ou encore à cause de la présence d'un certain degré de censure, mais l'ambiance est quand même bien présente sur la galette. On regrette la présence d'une traduction française parfois un peu bancale, même s'il faut saluer son existence.
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> Note finale 7.5/10    
Les fans de Dragon Ball Z vont sans aucun doute courir acheter un exemplaire dès que l'occasion se présentera et les autres pourront certainement être curieux, mais on pense clairement que ce sont les fans de la licence qui pourrons profiter au mieux de ce titre et qui seront à même de l'apprécier à sa juste valeur. Les autres personnes quant à elles aurons entre les mains un jeu avec un fort capital sympathie qui permet de passer un bon moment, mais elles doivent savoir que dans le genre il y a quand même mieux sur le marché et pour un peu moins cher.
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: autre
Age: dès 12 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Date de sortie: 16.01.2020
Editeur: Namco Bandaï
Site officiel: http://fr.bandainamcoent.eu/dragon-ball/dragon-ball-z-kakarot
Développeur: CyberConnect2
> PAROLE DU RÉDACTEUR
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