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Note générale
GamesUP.ch |
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8/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Nintendo Switch |
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| Sur Nintendo Switch |
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COMMENTAIRES |
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| On peut découper cette génération de Pokémon en deux parties distinctes au niveau de la technique. Il y a les phases classiques villes, petits villages, routes, cavernes, forêts et plus encore qui font partie du lot traditionnel et les terres sauvages, qui sont la véritable nouveauté de ces deux épisodes. On peut dire de la partie classique qu'elle est très jolie. Les villes sont spacieuses et visuellement aguichantes, les forêts sont mignonnes et l'une d'elle est même superbe à l'aide de tons bleutés et d'effets lumineux en tout genres. On peut encore parler d'une caverne brillant de milles feux, qui attire sacrément l’œil. Les routes traditionnelles quant à elles restent jolies à parcourir et donnent toujours ce petit sentiment de voyage agréable que l'on apprécie tant dans un Pokémon. Le soucis ici reste plutôt qu'on à l'impression que ces phases classiques sont un peu petites et que sans l'aide des terres sauvages le jeu serait trop petit pour une aventure Pokémon. On aurait aimé pour cet opus que ces phases soient plus longues, mais nous sommes déjà contents de voir qu'elles sont bien présentes et qu'elles n'ont pas été abandonnées au profit des terres sauvages, ce qui serait une grave erreur. Les terres sauvages parlons-en, elles savent rester sympathiques à regarder tant que l'on est pas un aficionado de la technique. Si l'on n'est pas très regardant l'ensemble est plutôt propre, mais on dénote quand même facilement des textures parfois un peu grossières et un clipping assez prononcé, ce qui est dommage. |
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| On est dans un jeu Pokémon tout ce qu'il y a de plus classique. Épée et Bouclier restent des épisodes assez gentillets comparé à d'autres comme Rouge/Bleu et Noir/Blanc. Le PEGI recommande tout de même le jeu pour les sept ans et plus. |
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Mine de rien passer des doubles écrans de la DS et 3DS à un simple écran avait de quoi faire peur, car l’ergonomie que propose deux écrans est tout simplement parfaite pour la licence. Il ne faut tout de même pas oublier que Pokémon à commencé sur une simple Gameboy et que donc Game Freak à bien entendu trouvé la solution pour rendre le tout aussi ergonomique que possible sur un écran et il faut avouer cela marche toujours aussi bien. On dénote quand même quelques petits points manquant pourtant évidents, qui auraient pu faire gagner le jeu en ergonomie, comme un bouton dédié pour accéder directement à la liste de nos six monstres de poche, afin de voir à quel point ils sont en forme, ou mal en point. Pour ce qui est du reste Pokémon est fidèles à ses racines en proposant du tour par tour traditionnel et toujours aussi complet. Les fans de la première heure pesteront contre la disparition du Pokédel National et il faut donc savoir qu'il sera impossible de ramener un bon nombre de monstres des versions précédentes. On peut donc dire au revoir à certains grands noms comme Carchacrok, Dardagnan, Nidoking, les chimères de soleil et lune et plus encore. Heureusement, je pourrais au moins transférer mon Florizare. Ma chance légendaire fait que j'ai perdu toute mon équipe principale pour cette huitième génération, ce qui est un peu triste. Il y quand même un avantage dans ce nettoyage de printemps et c'est que de cette façon Game Freak remet un peu les compteurs du Meta-Game à zéro pour les parties en ligne. Cette période va donc s'avérer être passionnante pour les grands stratèges, qui rêvent tous de devenir les futurs Maîtres Pokémons.
Les Méga-Évolutions quant à elles ne font également pas partie de cet univers et sont remplacées par les formes Dynamax et Gigamax. Ces nouvelles formes qui durent trois tours pendant un combat et qui font grandir les Pokémons permettent en plus d'une amélioration des stats de profiter de nouvelles attaques. Il faut savoir que tous les Pokémons peuvent passer en forme Dynamax, mais pas en Gigamax, qui sont des formes uniques et qu'il faut capturer via des raids en ligne. Oui, pour avoir un Pokémon capable de passer en Gigamax, il faut soit le capturer dans un raid, soit le recevoir lors d'un événement organisé par Nintendo. Cette nouveauté de cette huitième génération fonctionne plutôt bien en mode histoire, mais il reste à voir ce cette nouveauté va donner sur le long terme dans les combats en ligne. On peut quand même déjà voir se dégager certaines tendances des dans les joutes entre joueurs, comme une très grande utilisation du pouvoir Dynamax sur un Léviator plutôt que sur un autre Pokémon. Pour ce qui est de la progression l'aventure est plutôt prenante et les arènes sont un très joli mix entre ce que la septième génération a proposé et toutes les autres générations. Chaque arène propose ses propres énigmes et mini-jeux qu'il faut remporter avant de pouvoir affronter le champion dans un stade en folie. Il faut savoir qu'un peu plus de 35 capacités ont disparues, mais ce que beaucoup de gens oublient de dire c'est qu'il y en a environ tout autant de nouvelles pour compenser. |
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| La bande son de Pokémon Épée et Bouclier reste dans la veine de ce que la licence nous propose depuis ses débuts. On apprécie tout particulièrement le thème de combat des arènes qui nous mettent bien dans l'ambiance d'un combat dans un stade. On entend le public chanter la musique, un peu comme si on était en plein carnaval et l'effet est assez sympathique. On apprécie aussi que cette musique soit dynamique et qu'elle réagisse au combat. Le reste de la bande-son est parfaitement dans le ton de ce que la série nous a habitué jusqu'à aujourd'hui, mais on est pas exactement au dessus des meilleurs opus. Les bruitages quant à eux restent ceux connus depuis des années et qui sont devenus emblématiques. |
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| L'aventure de Pokémon Épée et Bouclier n'est pas la plus longue de la licence en ligne droite, ni d'ailleurs pour en faire entièrement le tour. En une cinquantaine d'heures il est possible, avec un peu d'entrain, de compléter le Pokédex en entier, ce qui n'était pas possible dans les versions les plus récentes. Le post-game n'est aussi quasiment fait que des raids en coopération et bien entendu les divers modes en ligne, ce qui est un peu dommage. Les champions en herbe quant à eux auront de nombreuses heures de jeu en ligne, car devenir le champion, ça prend beaucoup de temps. |
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| L'histoire de Pokémon Épée et Bouclier reste assez simple à suivre et on est sur un épisode pas sombre pour un sous quand on le compare avec les versions Noire et Blanche, Rouge et Bleu ou encore plus récemment X et Y. Au moins on a quelques personnages intéressants comme le Maître Pokémon, ou encore un rival « secondaire » qui a un caractère bien trempé qui fait parfois penser à Blue. L'histoire se laisse vivre sans trop de problèmes et on apprécie parcourir cet univers pour récolter tous les badges et découvrir ses quelques mystères. |
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| Pokémon Épée et Bouclier n'est pas la catastrophe annoncée par certaines personnes qui aiment toujours en faire des tonnes pour attirer l'attention. Cette génération est même très agréable à parcourir, bien qu'un peu courte en ligne droite. La pilule la plus dure à avaler reste la disparition du Pokédex National, car certains joueurs ont auparavant payé la banque Pokémon pour pouvoir toujours ramener leurs équipes préférées d'une version à l'autre, en plus d'investir un temps considérable pour constituer des bonnes équipes, afin de pouvoir jouer de façon décente en ligne. Après avoir accepté que l'on ne reverra pas certains monstres pendant un petit moment et certaines fonctionnalités comme les méga-évolutions, on passe un très bon moment et au final c'est ce qui compte. |
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