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Note générale
GamesUP.ch |
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9.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Sur Playstation 4 Pro - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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Il était une fois dans l’Ouest, un développeur qui a décidé de nous plonger dans la poussière, la fureur et le sang, dans des décors aux visuels d’une beauté Impitoyable. Le soin apporté à la description de cette époque de fureur est saisissante. Des montagnes rocheuses, en passant par les forêts giboyeuses, même le bayou sent bon le cajun, grouillant de détails qui nous immerge dans la Rivière Rouge avec une telle force que même les visages burinés, taillés parfois à la serpette ne viennent ternir la toile de cette reconquête des Portes du Paradis. La gestion des conditions météorologiques comme la pluie, le blizzard, la brume matinale dans le bayou criante de réalisme, la neige qui parait se coller à vos bottes, sont un hymne aux longues ballades. Il est vrai que les personnages sont charismatiques, leurs expressions souvent poussées dans les limites pour accentuer la tension et la tragédie de cette traque sanglante. Alors tant bien même que les graphismes des personnages manquent de finesses, les décors eux prennent littéralement vie lors de vos chevauchée sur votre Appaloosa. |
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Sans concession, Red Dead Redemption 2 ne fait pas dans la dentelle. Il était une fois la Révolution, d’un titre qui nous offre l’Ouest américain tel que Sam Peckinpah nous l’avait déjà montré avec sa Horde sauvage. Le sang gicle, coule et tâche les planchers des saloons, les balles creusent des plaies béantes dans les corps, la réalité cruelle d’une époque qui voyait les plus forts manger les plus faibles. |
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L’homme aux pistolets d’or se meut pour les besoins de la meute affamée en un Jeremiah Johnson des plus aguerris. Les pistolets crachent encore leurs balles, mais le couteau du trappeur peut lui aussi rendre de nombreux service tout au long de votre périple. Jolly Jumper ou appelez-le Mon nom est Personne, votre meilleur ami, votre cheval sera l’ami fidèle dont il faudra prendre soin. Tout au long de l’aventure, l’apprentissage de la vie sauvage, comme la chasse, la pêche, les plantes, seront vos meilleurs atouts pour survivre. Votre mode de vision spécial, vous permettra de pister et aussi de trouver les ressources nécessaires pour vous soigner vous et votre monture. La jouabilité est un peu rude, réaliste et sans concession. Si Little Big Man a appris des Sioux, vous allez devoir apprendre que les chutes vous blessent, tout comme le froid vous fragilisera, le manque de nourriture vous mettra en condition précaire pour affronter les multiples dangers, souvent imprévisibles de cette époque sauvage. Tout est conçu, calibré comme un bon colt Frontière pour vous immerger de la plus belle des manières. Les fusillades deviennent vite légendaires, transformant le vieux Règlement de Compte à O.K. Corral en un classique un brin démodé. Sergio Leone passe par là, les cadavres s’empilent et les choix moraux deviennent vite un calvaire pour votre conscience qui sert d’Appât à vos acholiques, femmes et hommes, mis aux mêmes niveaux de faiblesse et de lâcheté et ne se privant pas de vous envoyer au turbin au moindre malheur. Vous allez devoir veiller sur eux, en jouant aussi les tueurs sans foi ni lois et Pour une poignée de dollars, vous livrer aux pires exactions. Et comme Rockstars games décida de nous offrir tous les plaisirs de l’époque, vous allez pouvoir visiter un nombre impressionnant de lieux de débauches, de culture, personnaliser vos armes, vos vêtements et autres accessoires tout en allant piller des banques, des diligences, des passants, des fermiers… Red Dead Redemption 2 vous offre l’Ouest sauvage, pour moins de 100 dollars pour un shérif. |
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Johnny Guitare nous berce de ses mélodies et nous signifie la fin d’une époque, Pale Rider, le cavalier solitaire a depuis longtemps rangé ses armes pour mieux écouter des mélopées indiennes en quête de paix. Tout colle parfaitement avec les paysages traversés, la country se fait douce, tandis qu’Ennio Morricone lui nous joue un air triste de son harmonica. Il était une fois dans l’Ouest, des doublages fantastiques, qui donnent vie à nos personnages. Les situations sont parfois cocasses, souvent tragiques et sans concessions. Le train sifflera trois fois avant les 3 heures 10 pour Yuma, avant que vous ne décidiez de vous laisser emporter par votre sommeil. |
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Absolument colossale, des centaines de missions annexes, quêtes et une histoire qui vous fera voyager jusque dans des îles tropicales. Sans temps morts, La Charge fantastique vous fera vivre une centaine d’heures de pure plaisir. |
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Et pour quelques dollars de plus, devait se dire Dutch, le chef de la bande en quittant les montagnes rocheuses affamés, poursuivit par tout une armée de justiciers et vieux ennemis revanchards. La bande recherchée Mort ou Vif après un casse des plus sanglants, se retrouve à devoir courir les mauvais coups pour survivre et espérer un hold-up magistral pour enfin trouver la Rédemption. Le héros, Arthur Morgan, n’est pas l’Homme qui tua Liberty Wallance, mais un brigand au cœur qui bat pour une vie gâchée, se devant aujourd’hui de prendre soin du Convoi de femmes, de la Horde sauvage tout en obéissant aux ordres insensés de son chef et ami. L’écriture est remarquable, la description du far-west d’une richesse inouïe. Les dialogues sont dignes du Bon, la Brute et le Truand, avec sarcasmes et grivoiseries bien chambrée comme les munitions de la Winchester 73. On est littéralement emporté par la dramaturge de cette histoire épique, sans concession, par la quête rédemptrice de notre héros, qui devient l’Homme des hautes plaines á la fois Impitoyable et justicier. |
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Les 7 Mercenaires, tel des samouraïs, font siffler les balles et couler le sang dans les vastes plaines. Véritable hymne au western, le titre de Rockstar s’impose comme le chef-d’œuvre absolu de cette année 2018 déjà bien riche en titres de qualités. La description et le réalisme de cette chevauchée fantastique se veut un hommage appuyé aux cinéastes comme John Ford, Clint Eastwood, Sergio Leone, Kevin Costner, qui ont su mettre dans leurs œuvres cette touche qui en font des grands classiques du 7éme art. Le colt encore chaud peut se reposer dans son holster, Django a obtenu sa rédemption, La Captive aux yeux clairs peut sourire, Josey Walles le Hors-la-loi enfin trouver le repos éternel. |
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
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Version: |
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Genre: |
Action / Aventure |
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Age: |
dès 18 ans |
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Nombre de joueurs: |
1 |
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Online: |
Oui |
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Date de sortie: |
26.10.2018 |
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Editeur: |
Rockstar Games |
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Développeur: |
Rockstar Games |
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