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Note générale
GamesUP.ch |
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8/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation 4 |
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Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation 4 - Playstation 4 Pro - Xbox 360 - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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Ambiance de vieux films d’horreur, visuels crasseux, lugubres et sanguinolents, mélange de films de Tobe Hopper et productions horrifique japonaise. Quelques textures pas très fines, des plans parfois un peu coupés à la serpette, mais les monstres et l’effroi de certains plans, compensent les quelques lacunes techniques. On traverse des villages sordides, torturés, des cliniques étranges, baigné dans une ambiance qui fait la part belle aux jeux de lumières et aux ombres portées. |
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Le code pegi affiche 18 +, est c’est justifié au vue des nombreuses scènes sanglantes et effroyables présentent dans le jeu. |
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Les Japonais aiment les héros qui se trainent dans les niveaux, semblant tout droit sorti d’un sanatorium, le corps criblé d’arthrose. Faisant fi de cette difficulté de jouabilité, le gameplay vous place constamment face à des dangers qui pourront vite vous exterminer. On se déplace avec peine, devant reprendre son souffle après chaque attaque, ce qui accroît le sentiment de fragilité de notre héros perturbé. Le mode furtif est l’unique passeport pour espérer survivre et économiser vos munitions qui sont une denrée rare. Reste l’étrange fluide vert, collecté sur vos victimes, qui servira à doper vos performances, dans une étrange aile d’un asile gardé par une infirmière qui deviendra votre confidente, détentrice de casiers, qui pourront souvent vous sauver la vie, à condition de trouver les étranges statues cachées dans les niveaux. Une arbalète deviendra aussi votre bras armé pour répandre la bonne nouvelle et le choix des carreaux mis à votre disposition permettra quelques fantaisies dans votre chasse spectrale. |
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Debussy deviendra vite votre compositeur favori, annonçant un havre de paix dans un univers torturé. La bande son fait son office, distillant de belles compositions, parfois étrange qui accroissent le sentiment de trouble qui se dégage pendant votre périple. Les dialogues sont bons, justes, inquiétant et teinté de surnaturel. |
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Une longue histoire, qui s’étale sur 15 chapitres à la difficulté progressive – quelques apparitions sont déjà entrées dans le bestiaire cauchemardesque des jeux vidéo- pour une durée de 15 heures voire plus suivant le mode de difficulté. |
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Un début de mission qui vire directement au massacre de masse dans un Beacon Hospital ravagé par une force maléfique. L’inspecteur Castellanos, accompagné de quelques équipiers devra lutter contre ses démons intérieurs et un psychopathe bien décidé à modifier la création mise à sa disposition, sorte de monde parallèle, qui transforme les pires cauchemars en moment de pure folie. L’ambiance est effroyable, les dialogues crus et sans limites aucune dans l’exploration de la démence qui sommeille en chacun de nous. Nos peurs viscérales seront dévoilées et à aucun moment le scénario ne faiblit, continuant sa marche sanglante. |
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Evil Within lance de belle manière une toute nouvelle franchise de survival-horreur qui marquera les esprits, même les plus critiques. Son scénario torturé est une pure merveille tout comme l’environnement proposé qui nous entraîne dans les dédales de la folie humaine. On passera sur la jouabilité raide et sclérosée de notre héros, détaille parfois énervant, mais qui n’enlève rien au plaisir que procure ce titre. |
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