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Doom
 
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
7/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 4
Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation 4 - Xbox 360 - Xbox one

Les

+

> Bruitages des monstres.
> Modélisations des créatures.
> Effets visuels réussis.
> Création des cartes.
> Mode multi facile d'accès.
> Armes et armures qui montent en puissance.
 

Les

> Quelques plantages techniques.
> Trop d'actions.
> Devient vite barbant.
> Conception des niveaux étranges.
> Musiques qui cassent les oreilles.
> Des textures moches.





Une légende née il y a 23 ans, un nom qui claque comme un coup de shotgun, un véritable hymne à la violence et au massacre de masse qui galvanisa tout une génération de gamers dont l’angouement forgera durablement la réputation du père spirituelle de tous les FPS. Son retour sur consoles nouvelles génération se devait d’être un hymne à son aura légendaire, histoire de réecrire une page sanglante à son palmares. Malheureusement, si le massacre et la fureur sont encore bien présent, la peur s’est dissipée engendrant l’ennui et une dangereuse routine encore bien plus dangereuse que les hordes de démons. On avance, le canon crachant la mort, encore et encore... avant de prendre une retraite anticipée d’un job qui n’apporte au final que peu de plaisir.

 

Testé sur PlayStation 4 par Snake

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> Graphisme 7/10    
L’esprit de la saga reste le même, l’obscurité en moins. On massacre dans des niveaux labyrinthique étrange de part leur conception, mélange d’acier et de fibre organique dont les textures ne sont pas au diapason d’une telle licence. Les effets de lumières sont convaincants, la modélisation des monstres totalement dans l’esprit démoniaque de Doom, les armes bien modélisées. Et pour tant tout cela reste propret, asceptisé, sans grande surprise devant des visions effroyables qui ont plus pour effet de vous faire rire. Vous êtes la bête, les démons des pantins qui hurleront leur désespoir devant votre toute puissance. L’esprit de la saga est mort, la peur absente, le sentiment de claustrophobie oublié depuis le sublime 3ème épisode, Doom devient un énième jeu de tir sans surprise, sans âme, bourrin à flanquer la nausée, la qualité graphique n’arrivant même pas à restaurer toute la beauté des enfers.
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> Violence 8/10    
Le sang gicle à gros bouillon, fidèle à la licence, les monstres sont réduits en charpille. Par contre quelques scènes sont loupées à cause des textures bas de gamme, l’horreur devenant banal même pour les enfers.
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> Jouabilité 8/10    
A part les phases de plate-formes vite gouflantes de part leur manque cruelle de précision ; sauter avec deux tonnes de matériels ne doit pas être évident même pour le soldat de l’enfer, le reste de la jouabilité se veut nerveuse, idéale pour ce genre de jeu bourrin. Par contre le jeu plante par moment sans raison apparente, avec un petit message d’erreur de système qui semble encore bien présent, vous redemandant de relancer votre sauvegarde et de vous farcir de nouveau un temps de chargement, manie bien présente dans les consoles nouvelles générations. Pour résumer Doom, on avance dans de gros niveaux à la conception qui se veut torturée uniquement pour vous envoyer chercher quelques items, certes utiles pour customiser votre équipement, et on massacre du monstre encore et encore avec le sentiment de refaire la même action dans une succession de niveaux barbant à souhait.
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> Bande-son 7/10    
Les bruitages et les hurlements des monstres sont de qualités, la musique qui vient accompager le début de votre carnage est par contre vite indigeste. Le trash métal se marie bien avec ce type de jeu, mais nous la balancer à tous les niveaux fini par procurer des douleurs insupportables pour vos tympans.
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> Durée de vie 7/10    
Un mode histoire vite barbant et des modes multi sans grandes surprises mais qui se veulent assez fun car rapide d’accès. Le mode de conception de vos propres cartes est des plus intéressant, permettant une grande variété de combinaison.
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> Scénario 4/10    
Difficile de dire qu’un scénario est présent dans ce jeu car les maigres interactions avec des personnages pathétiques qui n’apportent rien à votre odyssée sanglante, ne doivent leur présence que pour meubler un jeu qui ne vous demandera au final que de mettre sur pause votre matière grise.
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> Note finale 7/10    
Doom ne fait plus peur et il engendre même une profonde lassitude, un constat aussi implacable que de trépasser et de finir dans l’antichambre des enfers. L’univers torturé, mélange de chair et d’acier est respecté, mais les textures ne lui rendent pas hommage, sans parler d’une conception des niveaux étranges qui sont parfois sans aucune logique. Doom se positionne comme un bon défouloir, un hymne à la violence, qui aurait laissé ses tripes au vestiaire, tellement dôpé aux amphétamines, que notre héros deviendrait presque le boss final.
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: FPS
Age: dès 18 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Oui
Date de sortie: 13.05.2016
Editeur: Bethesda Softworks
Site officiel: http://doom.com/en-us/
Développeur: ID Software
> PAROLE DU RÉDACTEUR
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