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Pro Evolution Soccer 2016 |
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Note générale
GamesUP.ch |
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8.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation 4 |
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Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation 4 - Xbox 360 - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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Le titre tient enfin la dragée haute à son concurrent avec une modélisation des joueurs vraiment impressionnante. Dès que les joueurs foulent la pelouse, le moteur Fox Engine développe tout son potentiel, la qualité graphique transforme les stades en de vrais temples du football avec pour une fois une modélisation du gazon qui ne ressemble plus à une vieille moquette. Les effets de lumières, la météo dynamique et le soin apporté aux visages des stars sont une réelle plus-value pour le titre de Konami. Plus de 2000 visages ont été modélisés quasi de manière photo-réaliste pour un résultat final des plus bluffant. On remarque aussi que les mouvements des joueurs deviennent moins mécaniques, plus fluides balle aux pieds et la sensation de voir les deux parties du corps travailler de concert ajoutent encore un couche de pure bonheur à cette édition « Anniversaire » qui décidément va ravir les fans un peu oublié sur les dernières version d’un jeu qui commence à sacrément rattraper son retard sur son concurrent. Fini le banc de touche et place à du football spectacle. |
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Quelques tacles ravageurs, des tibias et des gros bleus pour décorer les mollets de nos stars histoire de mettre des motifs et de la couleur sur tout leur corps… |
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Le grand exploit de PES 2016 est de permettre, même aux néophytes, de se lancer dans les stades sans une grande expérience préalable pour ce type de jeux. La jouabilité est à la fois simple et terriblement intuitive, et dans un sens assez logique avec une utilisation des touches qui permet très vite de se sortir du marquage d’un défenseur trop pressant, de lancer une action rapide, ou de distiller un centre en profondeur de manière précise. On saluera aussi l’excellent didacticiel qui pour une fois sur une simulation est complet, très bien calibré. Le jeu lui se base sur le Pichi-chi de Barcelone et sur la construction d’action à la Bavaroise, toute action se devant d’être construite par un jeu de passe irréprochable rendu bien plus facile grâce notamment à une physique de la balle irréprochable qui offre de pures sensations footballistiques sans les bugs de collisions de la version précédentes. On pourra toujours s’étonner du laxisme de l’arbitre à ne pas toujours siffler des fautes, surtout sur les attaquants mais pour le reste le jeu fait le job de bien belle manière et permet de se lancer à la conquête des titres prestigieux sur une simulation qui n’a décidément plus rien à voir avec les versions proposées ses dernières années. |
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Les commentaires donnent envie de mettre des claques aux deux crétins censés nous plonger au cœur d’un match qui n’a plus rien de trépidant à les entendre disséquer des actions inexistantes, ce qui donne parfois envie d’en rire même si tout n’est pas à jeter. Pour le reste, l’ambiance dans les stades est assez bien restituée, les spectateurs criants et chantants dans les tribunes de manière plutôt convaincantes. Quelques bonnes musiques de soirées à Ibiza viennent animer le menu pas très accueillant. |
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Les fans de Bundesliga pourront toujours pester sur le choix rachitique de trois équipes officielles, les fans de 1ère Ligue de devoir composer avec des noms d’équipes inexistantes fautes de licences officielles, petit problème qui peut tout de même être détourné en recréant le championnat dans son intégralité en y incluant les joueurs et les vrais noms des équipes. Pour le reste les championnats sont légions avec les Licences officielles pour la UEFA Champions League, l’AFC Champions League Asie, la Copa Libertadores et Sudamericana et des équipes de pays peu connues comme l’Iran, la Chine, le Japon, la Corée… des équipes nationales pour des heures de jeux. C’est encore moins bien que son concurrent mais largement suffisant pour passer une fin d’année entre chips et bière devant son poste de télévision. |
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Un mode carrière pour devenir une star ou un dirigeant de club est bien proposé mais pour ce qui est d’un quelconque scénario qui viendrait pimenter la vie trépidante de ces hommes virils et tatoués et de leurs WAG’s qui font frémir les paparazzis, rien à compter ou presque et pas un célèbres metteur en scène au commande pour nous envoyer côtoyer la jetset et les dessous de ce monde qui fait rêver. Soit-dit en passant, de nombreux footballeurs mènent des vies rangées auprès de leurs moitiés. |
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Pro Evolution Soccer 2016 a retrouvé son panache d’antan et propose à tous les fans de football, une simulation accessible à tous sans pour autant léser les aficionados de jeu technique. Les défaites successives sont déjà oubliées, place enfin au plaisir de soulever de nouveau les trophées prestigieux pour cette licence qui fête pour l’occasion avec maestria ses 20 ans d’existence. |
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