|
|
|
|
+ Recherche avancée |
+ Login |
+ Newsletter |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Note générale
GamesUP.ch |
|
7/10 |
|
|
|
Note générale
lecteurs |
|
Non noté |
|
|
|
Testé sur |
|
|
|
PlayStation 4 |
|
|
|
|
Sur PlayStation 4 |
|
|
|
|
|
LAISSER UN COMMENTAIRE |
|
COMMENTAIRES |
|
Level design maîtrisé, visuels qui vous flanquent une claustrophobie monstre entre les coraux, la cité sous-marine Pathos-II impose son ambiance de désolation oppressante à la manière de Rapture. Les murs suintent, semblent murmurer d’étrange litanie, les recoins sombres des épaves sont d’une beauté renversante. L’étrange atmosphère de cette histoire totalement surréaliste donne lieu à des séquences pesantes aux milieux des coraux de cette mer sombre. Par contre le moteur tousse et semble souvent se noyer, saccade et plans qui se bloquent après une sauvegarde sont légions tout comme les textures affreusement corrodées par l’usure du temps. Reste une étrange sensation de malaise qui se dégage de ces humains désincarnés comme aspiré par leurs propres machines de fer qui avalent leurs âmes pour mieux se les approprier. |
> notez cette section |
|
Le choc vient de l’affreuse vérité qui se cache derrière les apparences trompeuses de ce monde censé faire oublier la tragédie humaine qui se joue à la surface de la terre. Certains plans associés à des dialogues torturés |
> notez cette section |
|
Mimer des actions ne veut pas toujours dire vivre l’action présente qui trop souvent se limite à ouvrir des sas, des portes, à activer des leviers, écouter des enregistrements à se balader au milieu des coraux sans trop savoir où aller pour mieux recommencer plus tard cette même action comme un lente litanie monotone. |
> notez cette section |
|
La bande sonore distille son ambiance suffocante, vous faisant côtoyer la noyade, le malaise qui vous étrangle avant de vous avaler dans les profondeurs. Et pourtant le soin apporté aux effets sonores et à la narration pleine de panique de ses survivants qui ne le sont plus n’engendrent que trop rarement le sentiment d’être au cœur d’un immense cauchemar. |
> notez cette section |
|
Malgré l’envie viscérale de lever le voile sur les lourds secrets de ses mondes engloutis, l’histoire finie il est peu probable que l’on se risquera à retourner patauger dans les épaves 7 heures durant. |
> notez cette section |
|
Se voir offrir un traitement miraculeux après avoir subi un accident qui a laissé notre héros avec des séquelles cérébrales irréversibles, difficile de ne pas résister à la tentation d’une toute nouvelle vie… Se réveiller au milieu d’une station sous-marine en proie à une folie qui fait que les machines se prennent pour des humains et que les humains ne savent plus si ils sont encore vivants ou désincarnés dans une réalité virtuelle qui parait être l’illusion d’un nouvel Eden, le scénario vous aspire littéralement pour ne plus vous lâcher, sans temps mort malgré la lenteur de certains passages et une narration qui joue sur nos peurs sans toutefois arriver à nos faire hurler. L’écriture est sublime, sacrément audacieuse. |
> notez cette section |
|
Difficile de ne pas se montrer un brin sévère avec Soma qui impose son univers aux visuelles accrocheurs sans toutefois vous donner réellement l’impression d’être le vrai maître de votre propre destinée. On avance dans les corridors parfois hanté par de bien étranges créatures sans sentir un quelconque effroi, on ouvre des portes et des sas à la recherche d’un peu d’oxygène, histoire de se sentir un peu moins étouffé par l’ambiance pesante, claustrophobie trop souvent ennuyeuse pour cause de manque de challenge. Aucune véritable énigme, casse-tête un peu alambiqué qui pourrait rythmer votre longue procession métaphysique au fil conducteur souvent brillant. Reste cette sensation d’avoir vécu une expérience émotionnelle forte à défaut d’avoir vraiment joué à un jeu vidéo qui fiche la trouille. |
> notez cette section |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|