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Note générale
GamesUP.ch |
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7.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation 3 |
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| Sur Ordinateur - PlayStation 3 - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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Par rapport à l'opus précédent, lui-même en très légère progression comparé à F1 2012, les graphismes semblent ne pas avoir bougé d'un boulon. Si le tout reste très correct, l'arrivée de la next-gen a donné un sacré coup de vieux au moteur graphique Ego. Espérons que Codemasters saura nous proposer une mécanique des plus rutilantes pour l'opus next-gen prévu pour début 2015.
Du côté des nouveautés, les tracés de Sotchi (GP de Russie) et de Spielberg (GP d'Autriche) bénéficient d'une réalisation tout à fait convenable. On aurait néanmoins espéré un peu plus d'animation pour ce dernier, d'autant qu'il est présent dans GRID Autosport où il remplit déjà ce critère accessoire. Autre bémol : les cockpits qui parfois ne respectent pas du tout ceux des vraies monoplaces, comme par exemple celui de la Mercedes. Alors que son volant comprend un tout nouvel écran d'affichage très imposant dans la réalité, Codemasters semble s'être contenté de lui mettre un volant générique sur lequel même l'étoile de la marque allemande n'apparaît pas... |
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| C'est bien connu : en F1, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! Du moins dans les jeux vidéo... |
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Qui dit changements techniques dit gameplay modifié. Codemasters se savait attendu au tournant à ce niveau et cela se ressent manette (ou volant) en main.
Pour ceux qui ne seraient pas au jus concernant les modifications apportées en F1 cette année, la réglementation 2014 exige entre autres l'utilisation de moteurs V6 turbo (contre V8 atmosphériques auparavant) à l'hybridation électrique particulièrement aboutie. Cela se traduit par un couple très important à bas régime qui incite à prendre encore plus de précautions lors des réaccélérations sous peine de perdre le contrôle.
Et c'est exactement ce que l'on découvre dans F1 2014 lorsque l'on effectue ses premiers tours de roues. Si ce surcroît de couple se montre plutôt facile à gérer avec les aides activées, la voiture parvenant alors à corriger la dérive d'elle-même, le défi est tout autre une fois que l'on joue sans filet. Dans ce cas, il faudra être très progressif sur les gaz, que ce soit en virage ou en début de ligne droite, le patinage étant davantage présent qu'auparavant.
Si cela rend le pilotage un peu plus délicat, les erreurs sont quant à elles un peu moins punitives. En effet, les "coups de raquette" tant redoutés sont plus facilement rattrapables, tandis que les sorties de piste influent beaucoup moins sur la stabilité.
Étrangement, le "boost" généré grâce à la récupération d'énergie, pourtant toujours d'actualité et même amélioré en 2014, n'est plus disponible. Impossible désormais de défendre sa position en ligne droite sans avoir à espérer que le moteur de notre adversaire soit moins performant.
Pour ce qui est de la gestion des pneus et de l'essence, aucun bouleversement n'est à signaler. On relèvera tout de même une dégradation des gommes légèrement plus rapides. Un phénomène certainement lié au tempérament particulier des V6 hybrides. |
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| Lui aussi influencé par la nouvelle réglementation, le bruit des moteurs se montre plutôt fidèle la réalité, au grand dam des amoureux de jolies mélodies. En effet, la sonorité des F1 est beaucoup moins flatteuse que par le passé, sans oublier son côté linéaire qui ne laisse aucune place aux envolées lyriques que l'on pouvait entendre à la bonne époque. Mais cela ne doit en aucun cas amener à déprécier le travail remarquable qu'a réalisé Codemasters à ce niveau. |
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En ce qui concerne le contenu, on est en terrain connu puisque l'on retrouve peu ou prou les mêmes modes de jeu, à savoir "Défi de saison", qui permet de créer son pilote pour le faire monter au plus au niveau durant plusieurs saisons, le mode "Carrière", qui nous plonge dans la peau d'un des pilotes de la saison 2014, le mode "Scénario", qui comprend des situations particulièrement délicates, et enfin les incontournables contre-la-montre. Les nostalgiques seront déçus d'apprendre l'absence du mode "Classic" qui comprenait quelques circuits et monoplaces issus des années 80-90.
Le multijoueur peut s'effectuer en écran partagé, en LAN ou bien en ligne (jusqu'à 16 joueurs). À noter qu'il est possible de prendre part à une saison entière en coopération avec un de ses amis. |
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| Comme dans F1 2013, les premiers tours de roues s'effectuent lors d'une séance d'essais réservée aux jeunes pilotes. Mais si l'opus précédent nous proposait, comme son prédécesseur, toute une série de tests pour jauger notre niveau, F1 2014 expédie cette phase pour la remplacer par un simple petit contre-la-montre d'un tour sur le circuit de Monza. Inutile de dire que l'intérêt en devient très limité... |
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| F1 2014 s'adapte presque parfaitement aux changements apportés au règlement sans pour autant déstabiliser ses joueurs, qui devront néanmoins revoir leurs habitudes s'ils veulent jouer sans aide. Pour tout le reste, le passage de F1 2013 à ce nouveau volet se fera en douceur. Cependant, on regrette de voir que le mode "Classic" n'a pas été reconduit. Mais peut-être que Codemasters a décidé d'en garder sous le pied pour son prochain F1 afin de proposer un peu plus qu'une mise à jour graphique ? |
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