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Note générale
GamesUP.ch |
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9/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation 4 |
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Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation 4 - Wii U - Xbox 360 - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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Les visuels enchanteurs nous entrainent dans une direction artistique maîtrisée de bout en bout par de somptueux plans en 2D qui se superposent sur des peintures qui prennent vie à chaque mouvement du vent. L’effet magique est immédiat et on se rend compte que le moteur graphique qui sublime Rayman se pare encore une fois de diamant pour nous aspirer dans un conte à mille lieux des grosses productions actuelles. Tout est légèreté, caresse, poésie doucereuse dans un monde étrange sublimé par de simples coups de crayons qui donnent vie à bien des songes. |
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Tel un conte des frères Grimm édulcoré, le titre d’Ubisoft distille une atmosphère entre poésie et affreux cauchemars, un peu comme les premières sensations du pas hésitants d’un jeune enfant dans le monde sournois des adultes. Mais n’allez surtout pas penser que la sorcière sera aussi fourbe que celle de Blanche Neige et imposer une pomme si vénéneuse que les plus jeunes seront à jamais sevrés d’un si généreux fruit. Ce titre s’adresse à des enfants dès 6 ans qui pourront partager une bien belle aventure en compagnie de leurs parents et profiter au passage des merveilleux moments de lectures qui leur feront découvrir la poésie d’un récit tout en rime. |
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Elle marche pour retrouver son chemin, virevolte après avoir rencontré son destin et se voit éclairée par une bien étrange créature qui la mènera dans d’obscure recoin, qui sont autant de cachette à son imaginaire ou alors aux bribes de sa vie perdue par un si grand chagrin. Child of Light tire sa force de la simplicité de sa prise en main, tout en douceur, comme un rite initiatique que l’on découvre en même temps que notre héroïne. On avance tranquillement dans l’aventure, la jouabilité enfantine se chargeant de vous guider sans jamais vous frustrer, on prend le temps de s’arrêter pour lire les étranges panneaux aux noms plein de mystères. Un compagnon un brin particulier viendra vite éclairer les petites énigmes qui jalonneront votre progression ; il pourra se jouer avec le stick droit pour collecter de précieux items ou éventuellement se laisser apprivoiser par un deuxième joueur qui pourra partager avec vous cette bien belle histoire. Les combats qui sont légions rappelleront aux fans des jeux de rôles japonais toute la finesse des combats au tour qui se veulent néanmoins assez dynamique grâce aux compétences de votre petit protégé qui peut ralentir les ardeurs des belligérants. On rencontre un ennemi et le temps se fige, pour commencer une étrange dance rythmée par deux barres synonymes de stratégie et de réflexion. Divisée en deux, ces barres indiquent le temps d’attente et le lancement d’une attaque. On doit donc user de stratégie pour tenter d’étouffer au maximum les attaques parfois terribles des ennemis rencontrés soit en tentant de les attaquer deux fois de suites grâce au ralentisseur de temps de notre luciole ou alors en utilisant au mieux nos compétences qui s’étofferont au fil des combats gagnés. Tout est question de timing et d’observation en sachant qu’aucune barre de vie ne viendra vous indiquer le statut des belligérants. Des alliés viendront se joindre à votre quête apportant dans leur besace de bien précieux pouvoirs comme la faculté de pouvoir redonner des points de vie à toute votre équipe, très utiles contre les hydres et autres êtres spectrales. Et comme tout jeu de rôle à la fin de chaque combat des points d’expérience vous sont attribués permettant à Aurora et ses alliés de devenir encore plus puissant pour affronter la multitude d’ennemi qui se cachent dans les bribes de ses cauchemars. |
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Histoire de nous plonger au cœur d’une aventure pleine de mysticisme, la bande sonore a été confiée à l’artiste canadienne « Cœur de Pirate », pianiste et interprète reconnue qui a composé des partitions intimiste et emplie de nostalgie qui accompagnent le joueur tout au long de l’aventure. L’orchestre symphonique de Bratislava rajoute de l’amplitude aux scènes de combats qui deviennent très vite épiques. On est littéralement transporté dans un monde emplit de poésie, de rêverie, d’affreux cauchemars qui se dessinent derrière chacune des rimes qui composent cette mélopée initiatique emplissant de mille sons chacune des aquarelles traversées. |
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Tout dépendra de votre envie de tout explorer, de fouiner la moindre ronce ou d’ouvrir toutes les portes pour y découvrir des pages et les nombreux secrets enfouis dans les limbes de Lémuria. Les heures défilent, distillant aux grès des péripéties d’Aurora de nombreuses surprises… Comptez environ une dizaine d’heures ou des milliers de secondes de plaisir pur pour terminer ce petit chef-d’œuvre d’originalité. |
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Que peut-il bien se passer dans la tête d’une jeune enfant qui voit son monde si féérique envahit par des monstres qu’elle croyait appartenir seulement aux affreux cauchemars de nos nuits agitées. Lemuria et son pauvre père se meurt, comme effacé par la noirceur d’une affreuse Reine qui plonge dans l’obscurité les dernières bribes de naïveté qui sautillait encore, il y a peu dans l’imaginaire de la princesse Aurora. Elle se réveille dans une sorte d’antichambre de sa jeunesse insouciante, assaillie par des visions étranges qui la guide vers une mission bien trop périlleuse pour son jeune âge. Elle doit retrouver le chemin qui mène aux étoiles, se rapprocher de la lune et du soleil tout en livrant bataille entre ronces et loups enragés pour enfin défier cette mystérieuse reine noire sans jamais que l’histoire ne baisse en intensité. |
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Encore une merveille qui vient bousculer les blockbusters et leurs millions engloutis dans le tape à l’œil souvent dénués d’imaginaire, pour mieux nous rappeler que l’on peut créer des univers vidéo-ludiques sans fourvoyer les consommateurs sous des tonnes de promesses vaines. Child of Light est un petit bijou d’ingéniosité et de poésie et nul besoin de trop longs discours pour dire que nous touchons là un titre qui s’apparente déjà à un chef-d’œuvre. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
Ce petit bijou m'a totalement conquis et je ne peux que m'incliner devant tant d'ingéniosité au service d'un public jeune qui saura apprécier la narration intelligente tout au long de cette sublime aventure.
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