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Note générale
GamesUP.ch |
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7.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation 3 |
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| Sur PlayStation 3 |
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COMMENTAIRES |
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| Premier épisode à avoir passé le cap de la 3D pourtant splendide à l'époque, Tales Of Symphonia a bien du mal à s'imposer aujourd'hui comme un ténor du genre dans ce critère, ce qui est plus ou moins normal. Le titre a quand même le mérite de rester regardable et honnête un peu plus de dix ans après sa sortie, car la technique du cel-shading, qui avait été adoptée pour cet épisode, a la propriété de très bien vieillir. Bien sûr un petit lifting a été appliqué à cet opus : tout devient beaucoup plus lisse et les couleurs deviennent d'un coup également plus « vivantes ». On évite aussi globalement un effet de flou, car l'image a bien été adapté pour les écrans haute définition et les bulles de textes sont parfaitement lisibles, ce qui n'est pas un mal, car du texte à lire, il y en a toujours à foison dans les Tales Of ! Les choses qui ont le plus vieillies, sont indéniablement les effets pyrotechniques en 3D des diverses compétences que vous pourrez lancer, qui sont parfois un poil pixelisées. Le déroulement des combats se passe sans encombres et tout reste très fluide. En fin de compte, tout est parfaitement honnête sans pour autant jamais atteindre ce qu'on est en droit d'attendre aujourd'hui. Kosuke Fujishima est le character designer de cet opus et il avait réussi, à l'époque, à créer des personnages charismatiques en allant principalement puiser son inspiration dans les shonen et autres types de manga. On retiendra également que «Tales Of Symphonia» nous fait beaucoup voyager et découvrir des endroits bien mystérieux, qui sont, pour la plupart du temps, très dépaysant. On regrette au final simplement qu'un titre aussi mythique que celui-ci, n'a pas bénéficié d'un meilleur traitement, car transformer un jeu gamecube en quelque chose de magnifique, c'est tout à fait possible et Nintendo nous la prouvé, récemment, avec « Zelda : The Wind Waker HD », qui est ressortit de son lifting graphique, plus resplendissant que jamais. La carte du monde, qui était déjà le véritable point faible de la version originale tant elle n' était pas jolie comparée au reste du jeu, est encore une fois ici un point noir, car elle fait encore plus « cheap » que par le passé. Le constat est un peu le même pour « Tales of Symphonia : Dawn of the New World », mais celui-ci étant bien plus récent, tout semble un poil plus joliment présenté. Graphiquement on est proche d'un « Tales Of Graces »qui était également sortit sur Wii un peu plus tard et ensuite porté sur Playstation 3. Il n'y a rien de plus à ajouter si ce n'est que le design des personnages reste dans les mêmes tons et que la plupart des héros du premier opus se retrouvent dans le deuxième en compagnie de deux nouveaux protagonistes. Ce Tales Of avait quand même joué la carte de la facilité, en reprenant un bon nombre de lieux déjà visités dans le premier Symphonia en y apportant bien sûr des graphismes un peu plus soignés. Alors que le premier opus est un véritable voyage teinté d'exploration et de découvertes pour les nouveaux venus, cette suite n'est souvent qu'une simple redite quand on joue aux deux épisodes dans l'ordre, ce qui est fort dommage. Quelques petits ralentissements sont à dénoter dans cet opus dans certaines phases de dialogues et lorsque certaines attaques surpuissantes sont déployées sur le champ de bataille. Les scènes illustrées en animées sont tout bonnement sublimes. |
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| « Tales Of Symphonia » et sa suite « Tales of Symphonia : Dawn of the New World », ne sont pas des titres extrêmement violent dans le fond. Ils abordent cependant, sans hésiter, certains thème sérieux sans trop de gêne. Ne vous fiez pas à l'aspect « mignon » et « naïf » des graphismes, car les titres peuvent parfois surprendre et aborder d'un coup sec des sujets comme l'esclavagisme et les expériences génétiques sur les êtres humains, vous êtes prévenu ! PEGI+12 conseillé. |
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| Déjà excellent à l'époque, Tales Of Symphonia reste, aujourd'hui encore, un modèle du genre au niveau du gameplay tant il est efficace et bien conçu ! Rapidement accessible, tout en proposant une énorme marge de progression et un système nerveux grâce à des combats en temps réel, le titre de Namco Bandai possède une richesse assez inouïe. Basé sur le système « Linear Motion », qui fonctionne dans les grandes lignes grâce à un axe de déplacement prédéfini par l'ennemi qui est ciblé, votre personnage ne pourra que se déplacer en avant pour foncer sur l’ennemi « locké », ou en arrière pour effectuer une esquive en étant en position défensive et c'est ce qui fait toute l'efficacité de ce système, qui n'a décidément plus rien à prouver aujourd'hui. Il a par la suite été bonifié avec le temps et a atteint son efficacité maximale avec « Tales Of Graces », qui est un modèle de quasi perfection en ce qui concerne la jouabilité. Les compétences que vous pouvez gagner peuvent, en résumé, être attribuées aux directions de la manette et associées à une touche. Avec un peu de recherche et de doigté, il est possible d'effectuer d’impressionnants combos dévastateurs ! Les compétences s'apprennent au fil de la montée en niveaux et il est possible de paramétrer à peu près vos préférences de stats grâce aux « titres » que l'on récupère au fil de l'aventure grâce à des événements, ou à l'aide d'une simple montée en niveau. A la différence de la version Gamecube, cette nouvelle mouture du soft, tirée de la réédition du jeu sur Playstation 2, dispose de nouvelles compétences ultimes et propose une meilleure caméra en mode multijoueur, car oui il est possible de jouer à plusieurs dans Tales Of. Les menus sont tout à fait clairs et déjà modernes dans leurs conceptions, ce qui fait que l'on navigue de façon aisée dans les menus. Les donjons quant à eux sont pour la plupart longs et regorgent d'énigmes en tout genre. Le jeu est très bien construit et cette nouvelle version dispose d'une difficulté accrue même en mode normal : de quoi renouveler un peu plus l'intérêt pour les fans de cet opus ! Il y a également des mini-jeux sympathiques à essayer et cette version en bénéficie de quelques-uns supplémentaire par rapport à la version Gamecube. Le seul point noir de ce « Tales Of Symphonia » concerne la carte du monde qui a terriblement vieilli et qui n'était déjà pas exempt de défauts à l'époque. Il est très désagréable de voyager à pied car la caméra est collée au personnage et que l'on ne voit que rarement quelque chose de façon correcte. Il est possible cependant dans certaines conditions d'éloigner un peu plus la caméra ce qui règle en partie ce problème, mais cela n'est pas directement disponible avant d'avoir visité un certain endroit dans chaque zones principales du jeu. L'opus «Dawn Of New Worlds» repose principalement sur les mêmes bases que le premier épisode, mais à la différence près que les déplacements en combat ne s'effectuent plus sur le système de « Linear Motion » et que l'on doit principalement capturer des monstres pour les utiliser ensuite comme alliés la plupart du temps. Les déplacements sont ici totalement libres, ce qui donne l'avantage de pouvoir contourner les ennemis, mais enlève un poil d'intensité et de précision au tout. On regrette qu'une grande partie des donjons sont ceux du premier opus, mais de façon générale simplifiés. La carte du monde est remplacée par une simple carte de sélection des lieux. Malheureusement pour nous, les développeurs ont apparemment choisis de jouer, à l'époque, la carte de la facilité sur cet opus, ce qui est un peu dommage. |
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| La bande son de Tales Of Symphonia était pour l'époque très jolie au niveaux des sonorités, mais elle à un poil vieillie à ce niveau. Là où les compilations de Kingdom Hearts HD et Zelda Wind Waker HD, offrent une remasterisation complète des musiques, cette compilation se contente de prendre tout bêtement l'ancienne bande son sans faire aucune mise à jour. Qu'importe tout cela en fin de compte, les compositions ne perdent rien en charme et les mélodies sont toujours aussi réussies. Les fans de Motoi Sakuraba, Shinji Tamura et Takeshi Arai seront sûrement aux anges. Dawn Of New Worlds est un poil plus décevant au niveau musical, car celui-ci offre beaucoup de redites du premier jeu, ce qui donne rapidement une sensation de déjà entendu. Les deux titres proposent, pour la première fois en Europe, un doublage japonais de grande qualité, ce qu'il faut absolument saluer et on espère que les prochains jeux de la licence profiteront de cette option fort agréable ! Toutes les saynètes sont maintenant doublées, ce qui n'était pas le cas sur Gamecube. Le doublage anglais est lui de bonne qualité. Pour ceux qui étaient déçu de ne pas avoir la chanson thème japonaise de Tales Of Symphonia sur Gamecube seront certainement ravis de savoir que, celle-ci, est ici disponible ! |
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| Rien que le premier « Tales Of Symphonia », permet de s'embarquer dans une aventure d'une cinquantaine d'heures en ligne droite. Ajoutez à cela un deuxième épisode un peu plus cours, mais qui a quand même la capacité de vous retenir pendant une trentaine d'heures et vous avez rapidement de quoi passer, facilement, un bon nombre de nuits blanches en compagnie de Lloyd et ses amis ! La difficulté à été rehaussée dans l'épisode original et les deux jeux disposent maintenant d'un mode de difficulté difficile, d'ailleurs celui-ci donnera, sans soucis, du fil à retordre aux fins connaisseurs des Tales Of. Petite chose intéressante, six nouveaux Boss surpuissants sont présents dans le bestiaire du premier Symphonia et les personnes possédant des sauvegardes de « Tales Of Graces F » et « Tales Of Xillia » auront le droit à des costumes supplémentaires, ce qui n'est pas rien ! |
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Difficile de donner une note correcte dans ce critère, tant les deux jeux ne se ressemblent pas à ce niveau. Tales Of Symphonia sait nous imposer des personnages au charisme certain et qui deviennent rapidement très attachant, alors que Dawn Of New World nous fait assez rapidement déchanter avec deux personnages principaux très loin du charisme des personnages du premier opus, même si en fin de compte ils restent attachants. L'histoire du premier épisode est plus imposante et plus dramatique dans le fond, tout est beaucoup mieux écrit, ainsi que maîtrisé.Pour le deuxième opus, bien que le speech de départ soit très intéressant, car le héros de cet opus veux tout simplement éliminer Lloyd, tout retombe malheureusement rapidement à plat et devient rapidement prévisible. Le premier opus, qui était déjà relativement complet dans sa version Gamecube, avait reçu à l'époque, à son passage sur PS2 (qui est l'édition du jeu présente dans cette compilation
), un bon petit nombre de cut-scènes supplémentaires et de saynètes additionnelles qui enrichissent encore un peu plus le background déjà costaud du jeu : les fans apprécieront à coup sûr ! Ah, on a failli oublier, mais la traduction des phrases des personnages en fin de combat a pour une fois été faite, ce qui est vraiment excellent, surtout quand on joue en japonais ! |
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| Il est toujours compliqué d'attribuer une note précise à une compilation « HD », surtout quand les titres en présence, sont de base très différents au niveau de la qualité globale, mais une chose reste sûre, c'est que Tales Of Symphonia reste un excellent jeu et que « Tales of Symphonia : Dawn of the New World »est toujours un épisode sympathique à parcourir, mais sans plus. Ce portage haute définition n'est clairement pas le meilleur qui soit et en fin de compte, il n'y a pas vraiment grand chose en HD, mais les deux jeux ont quand même le mérite de s'afficher bien mieux que les versions originales sur nos télévisions actuelles ; ce qui n'est déjà pas mal en soit. Il y a quand même assez de nouveautés pour donner envie aux amateurs de replonger dans cet univers et rien que la présence des voix japonaises devraient en tenter plus d'un. Les néophytes, fans de J-RPG, qui n'auraient pas parcourus le premier Tales Of à avoir été traduit en français, devraient vraiment se plonger dedans, surtout si les graphismes « old-school » ne sont pas un obstacle, car je dis cela le plus sérieusement du monde, le voyage qu'on nous propose aux côtés de Lloyd est quand même bien marquant ! |
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