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Note générale
GamesUP.ch |
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7/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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| Sur PlayStation 3 - PlayStation Network - Xbox 360 - Xbox Live |
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COMMENTAIRES |
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| Que tout ceci est kitsch, fluo et coloré ! Mais comme c’est bon de retrouver une ambiance année 80 dans un jeu vidéo qui ne se cache pas derrière des paillettes 3D de l’apocalypse et qui assume totalement son ambiance rétro! Inspirée par Big Trouble in Little China (Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin) de John Carpenter, les développeurs offrent une ambiance « chaleureuse » aux passages inoubliables. Entre les rues coupe-gorges, les voyages dans l’espace et les cimetières envahis de goules, rien ne vous est épargné niveau lieux abracadabrants ! Contrairement à la critique d’autres magazines online de jeux vidéo, le « mauvais goût » artistique est ici parfaitement voulu et servi avec humour. Les décors sont effectivement un peu vides, mais n’empiètent pas sur la visibilité de l’action. Les ennemis sont des clichés de péripatéticiennes punks, d’afro-américains affreux et de gros loubard qui roulent des pectoraux avec leur tête à la Eddy Mitchell. Quand ce ne sont pas des geishas et des ninjas qui vous tombent dessus à bras raccourcis. Les boss sont aussi de leur côté pour le moins originaux, entre un tank de 30 mètres de long, un hélicoptère qui vole la tête en bas, une plante carnivore mutante tentaculaire et le grand vilain de cette aventure Skullmageddon, le bestiaire a largement de quoi contenter la galerie. Il est clair que techniquement le soft ne fait pas dans le ton actuel des choses et reste burlesque au possible ! L’animation est aussi d’une autre époque avec des gestes et mouvements pour le moins lents et limités. |
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| Des baignes à l’ancienne, pas de gore, juste des miss aux gros lolos qui sont toutes droites sorties d’un club SM avec leurs tenues légère en cuir et leur fouet. L’usage d’armes blanches et de barres de fer sont monnaies courantes dans l’aventure. Franchement rien de nauséabond dans DDN. |
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| Lourde et parfois imprécise au début, cette dernière s’émancipe au fil de la prise en main. Les habitués reconnaitront les fameux « hélicopters » et genoux sautés propre à DDII sur Nes. Les coups sont relativement efficaces et peuvent être customisés via des bonnes vieilles K7 audio à récupérer sur les « cadavres » encore fumant à terre. Avec l’argent que vous récolterez tout du long de votre périple, vous pouvez faire un petit tour chez le vieux chinois qui vous gratifiera de plusieurs nouvelles attaques spéciales et chez le forgeron à tête de viking qui les améliorera via du bon gros mithril gagné en tuant les boss. Ce qui obligatoirement vous demandera de refaire plusieurs fois les niveaux pour tout obtenir à 100%. |
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| Sans aucun doute la grosse claque de cette version de Double Dragon ! Les thèmes de la série se retrouvent mélangés à des pots-pourris pure souche année 80. Parfois rock et parfois disco, les sonorités entrainantes et rudement efficaces ce laissent écouter avec classe ! Les bruitages et le doublage en anglais son juste excellent, la palme revient à Skullmageddon avec sa voix de vilains sous acide à l’humour plutôt inquiétant ! Malheureusement aucun sous-titres en français ni de version française tout court ne font partie des prestations du jeu. |
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| En solo, comptez environ 4 heures de temps la première fois pour le finir. Surtout pour être sûr d’avoir acquis assez d'aptitudes et de force pour vaincre le boss final qui est juste cheaté ! La difficulté n’est pas énorme en soit en mode normal et encore plus simple à 2 joueurs en coopération, car il est possible de ressusciter son partenaire en permanence. L’action se durcit si vous arrivez à débloquer les modes de difficulté au-dessus qui rendent la démarche plus trépidante avec des ennemis plus au taquet que jamais. Dommage que le titre n’offre pas de mode coopératif en ligne, mais uniquement en local. |
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| Skullmageddon a osé enlever la pulpeuse Marianne une nouvelle fois ! Billy et Jimmy reprennent du service à travers 10 niveaux de folies ! Rien de vraiment inédit, le but étant ici de se défouler un point s’est tout ! A quoi bon avoir un background à la Final Fantasy, pour coller des baffes ? |
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| Autant le dire tout de suite ! Si vous aimez les jeux à l’ancienne et surtout les beat’em up, vous allez adorer ! Quel plaisir de retrouver un titre truffé de clichés empruntant un gameplay désuet mais au combien addictif ! Se nourrissant dans les aventures fantastiques de Jack Burton dans les griffes du Mandarin, l’aventure vous en donne pour votre argent avec une bande son juste énorme ! Si vous ne connaissez pas la relation qu’il y a entre un crayon à papier et une k7 audio, Double Dragon Neon n’est pas fait pour vous. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
Ce test a été pour moi une bonne occasion de retrouver mon esprit de vieux gamers en redécouvrant un jeu critiqué de toute part pour son coté « has-been », à l’évidence les gens qui ont allégrement vomis sur Double Dragon Neon ne l’on pas retourné dans tous les sens et se sont contentés de le survoler sans approfondir. Pourtant après une bonne dizaine d’heure de jeu, je l’affirme haut et fort, ce titre est juste excellent, à aucun moment je ne me suis ennuyé! Il est clair que si vous voulez profiter d’une bonne difficulté, il va falloir débloquer les modes en terminant l’aventure une première fois. Du old school qui fait du bien dans cette jungle de productions AAA aux DLC carabinés !
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