Final Fantasy fête cette année, son vingt cinquième anniversaire. C'est avec cette phrase, trainant au coin de leurs têtes, que les développeurs d'Indies Zéro ont du composer pour créer un jeu fêtant dignement l'anniversaire de la prestigieuse saga de Square-Enix. La réponse semble avoir été trouvée assez rapidement, puisque le petit studio semble avoir eu tout le temps nécessaire pour accoucher d'un jeu au combien riche et plus qu'agréable, alors que le pari n'était pas gagné d'avance et avait tout d'un projet "casse gueule". Bienvenu à vous dans un jeu de rythme/Rpg surfant sur les mélodies enchanteresses du Maître Nobuo Uematsu accompagnés de quelques-uns de ses compères, et tout cela à la sauce Final Fantasy !
Graphismes : 6,5/10Sûrement le point "faible" du jeu, non pas que le jeu soit moche loin de la, mais que le titre s'enlise parfois dans une sorte de "moindre effort graphique". En effet les décors lors des phases de Battle (combat) et de Field (terrain) se veulent assez simplistes et épurées malgré le fait que les fans reconnaîtront du premier coup d'œil chaque univers visités, lors des ballades sur les thèmes de Fields et les arènes de combat lors des Battle thèmes. On aurait peut-être aimés plus de clins d’œils et d'animations d'arrière plans. Cependant un gros effort à néanmoins été fait lors des Event Stages qui nous proposent des séquences des meilleurs moments de la saga, mélangeant habilement cut-scènes et cinématiques des différents opus ses passages feront sourire tout les fans, gare aux spoils tout de même. Les personnages quant à eux se retrouvent sous un format "kawai" désignées par Monster Octopus aillant déjà œuvré pour Square-Enix à l’occasion de Kingdom Hearts Re :Coded (ainsi que sa version d'origine sur mobile) ou encore Final Fantasy Brigade disponible uniquement au Japon sur les smartphones. Il faut avouer que ce design colle plutôt bien au titre, mais certains puristes n'aimeront peut-être pas cette "déformation" ou "simplification" à outrance des traits de leurs héros préférés toutefois reconnaissables au premier coup d’œil. Les menus eux restent sobres et les "notes" à accomplir qui défilent à l'écran sont agréables, bien visibles et parfaitement intégrées.
Scénario : -/10 Même s'il s'agit d'un Final Fantasy, ici le scénario sera quasiment tenu pour inexistant ou étant pour ainsi dire un simple prétexte pour partir à l'aventure. Les développeurs ont préférés s'appuyer et développer la jouabilité/rejouabilité du titre et son contenu, au lieu de son scénario et nous ne les pointerons pas du doigt pour cela. Nous ne donnons donc pas une note pour le scénario car l'intérêt du titre est bien évidemment ailleurs. Sachez simplement en résumé que le cristal de la mélodie risque d'être détruit à tout jamais et que vous devrez le sauver, 13 vaillant héros de la si prestigieuse saga reprendront du service pour repartir à l'aventure afin de sauver le monde une nouvelle fois. Comme vous pouvez le constater le scénario est aussi court que les cheveux de Barret Wallace et n'ira pas beaucoup plus loin. Vous aurez cependant tout le loisir de revivre certaines scènes mémorables de vos épisodes favoris sous forme de cut-scènes et cinématiques, et ça mes chers amis, ça n'a pas de prix ! On regrettera seulement que le jeu ne soit pas traduit dans la langue de Molière qui aurait pu nous rendre la vie plus agréable, mais sachez que le titre reste largement compréhensible avec un niveau basique d'anglais.
Jouabilité : 9/10 Difficile de critiquer quelque chose sur la jouabilité du titre tant le soft dans tout ce qu'il entreprend répond à la milliseconde près, tout en étant suffisamment intelligent pour proposer une petite marge d'erreur au joueur, marge d'erreur qui se réduira bien sûr à chaque pallier de difficulté dépassé. Non seulement le gameplay est au poil et intuitif mais en plus de cela tout ce qui entoure le jeu est ergonomique au possible et rend le jeu agréable à parcourir dans son ensemble. Theatrhythm: Final Fantasy nous prouve encore une fois à quel point un gameplay simple à la base peut être riche et intéressant en étant saupoudré de bonnes idées. En plus de l'expérience que vous gagnerez vous même au fil de parties, vos personnages évolueront et gagneront des capacités que vous pourrez installer au préalable pour vous faciliter la vie lors des stages, le soft gagne donc la une des plus importantes facettes du Rpg et par la même occasion une grande richesse. Vous passerez bon nombres d'heures à gérer vos compétences selon ce que vous voulez réaliser dans votre partie et c'est toutes ces petites choses qui rendent le jeu intéressant. Vous allez y revenir souvent, croyez moi !
Bande son : 8/10 Bien que touts les thèmes proposés ou presque soient d'une qualité hors normes et que le nombre de pistes disponibles est relativement conséquent (plus de 75 morceaux) nous regretterons l'absence de certains "incontournables" que les fans auront bien du mal à avaler. Alors bien sûr, que l'on retrouvera avec plaisir par exemple, Eyes on Me (FFVIII), To Zanarkand (FFX), Something to Protect (FFIX) et autres morceaux connus, mais l'on remarquera très vite l'absence de Cosmo Canyon (FFVII), Someday the Dream will End (FFX) ou encore plus simplement le Battle Theme de FFVI pour ne citer qu'eux. Sachez que tout cela est ou sera disponible sous la forme de DLC et que plus d'une cinquantaines de pistes seront à télécharger sous cette forme là et sont déjà prévus pour l'Europe. Mise à part ça, aucune traduction, c'est bien un des seuls points négatifs que l'on peut véritablement reprocher au titre. Bien sûr, ne boudons pas notre plaisir, car vos oreilles sortiront quand même de cette aventure plus qu'enchantées.
Durée de vie : 9/10 Une durée de vie gargantuesque vous attendra, surtout si vous désirez tout débloquer, voilà, c'est dit ! Le titre se veut extrêmement généreux et propose, au joueur persévérant, d'obtenir moult bonus vraiment sympas, comme de nouvelles musiques ou encore des personnages emblématiques cachés. En plus de cela et des différents modes de difficultés proposés, ainsi que monter vos personnages favoris (nécessaires) au niveau 99, vous pourrez vous amuser à collectionner les cinématiques des différents FF, des cartes ou encore passer au mode "Chaos Shrine" ou en français "Sanctuaire du Chaos". Ce mode vous proposera des pistes aléatoires en pack de deux avec une difficulté, elle aussi aléatoire et aillant des notes totalement remaniées pour l'occasion, de quoi vous faire sortir de vos petites habitudes prises lors du mode "campagne" et "challenge". Petite cerise sur le gâteau, le jeu peut-être joué en coopération en local et c'est tant mieux, car vu la quantité de défis proposés par le sanctuaire, il vaut mieux avoir un peu d'aide de temps en temps. Vous l'aurez compris, il s'agit d'un mode qui fera littéralement exploser la durée de vie initiale du soft et qui la fera monter à une centaines d'heures de jeu au strict minimum !
Violence : 3/10 Le jeu est presque le summum de la non violence, en tout cas il ne la démontre avec presque aucune férocité. Les scènes cinématiques de certains FF pourront cependant trancher avec l'univers mignon du jeu, car plus réalistes et même pour certaines légèrement violentes. Un jeu à mettre presque entre toutes les mains sans véritable soucis. Le +12 est recommandé par le PEGI.
Note finale : 8.5/10 Theatrhythm: Final Fantasy célèbre de bien belle manière l'anniversaire de Final Fantasy tout comme DISSIDIA Final Fantasy avant lui, mais dans un style totalement différent. Il ne s'agit pas d'un simple jeu tirant sur la ficelle du fan service. Le soft est un véritable jeu à part entière, créant à lui seul presque un genre qui lui est propre. Le mélange d'un jeu de rythme avec les composantes du Rpg japonais n'était pas une chose gagnée d'avance, mais ils l'ont fait et de bien belle façon. Tout en étant accessible au plus grand nombre, le jeu arrive à faire le tour de force d'être également destiné à la tranche hardcore des gamers et c'est quelque chose à saluer absolument. Par la même occasion, la 3DS s'offre un jeu 100% stylet d'une finition exemplaire comme on aimerait en voir un peu plus souvent. Bref, on aime !
Le cristal de la mélodie se meurt, en effet le rythme semble avoir disparu de la planète, voilà comment commence Theatrhythm: Final Fantasy, il ne vous en faudra pas beaucoup plus pour vous retrouver dans une aventure musicale et nous n'en demandons pas plus non plus. Bien sûr cela aurait peut-être changé d'avoir un jeu de rythme avec un gros scénario mais l'intérêt est ailleurs et nous ne nous en plaindrons guère. La seule chose que l'on pourrait reprocher à tout ce qui touche à l'aspect "lecture" du jeu est le fait que l'éditeur n'aille pas pris la peine de traduire son jeu en français, alors que Square-Enix s'est implanté en Europe et n'a donc plus aucune excuse pour ce genre de situation, surtout pour le peu de difficulté que devait représenter la traduction d'un tel soft. Treize héros vont donc partir à la recherches des points de Rythmia pour redonner de l'énergie au cristal en affrontant une multitude de défis.
Le jeu est techniquement plutôt réussit même si celui-ci ne joue pas du tout dans la surenchère graphique, mais plutôt au contraire mise la carte de la lisibilité au détriment de la richesse graphique. Les menus restent jolis, les lignes des rythmes parfaitement intégrées aux différents niveaux et même pendant les Stages Event, le tout reste toujours parfaitement lisible. Un bon point indéniable pour ce jeu ou mal voir les lignes de rythmes et leurs indications aurait été une catastrophe absolue. Les effets des sorts, de combats à l'arme blanche ou encore les terribles invocations sont très bien rendues et donnent un petit surplus agréable de dynamisme à l'ensemble du jeu. La disposition des combats rappellera aux fans de Rpg l'époque Nes/Snes une myriade de bons souvenirs. Le charadesign de Monster Octopus (Final Fantasy Brigade etc...) reste dans le même style que ses précédentes prestations pour la licence. Son style très épuré et "enfantin" propose une autre vision des personnages d'Amano et de Nomura, vision qui pourra peut-être rebuter certains fans qui auront du mal à accepter de voir leurs héros préférés être réduit à quelque chose de si fragile, mais soit, le jeu est parfaitement cohérent avec la direction artistique que le studio a choisit d'emprunter est c'est plutôt cela que nous allons retenir ici. Pour être honnête, la 3D n'est pas vraiment impressionnante, elle est juste sympathique tout au plus et met bien au premier plan les barres de Rythme. Plus le jeu sera difficile et plus vous désactiverez la 3D pour ne pas être gêné par celle-ci si par hasard vous veniez à bouger la console. Le style de jeu ne se prête d'ailleurs pas vraiment à cette fameuse 3D car tenant la console à une main et le stylet de l'autre on a du mal à être vraiment stable. Cela pourra peut-être vous convenir si vous pouvez poser la console quelque part, on dira que la 3D est ici, à la limite un simple gadget au contraire de KH3D Dream Drop Distance.
Les bandes son des divers Final Fantasy se retrouvent réunies pour cet anniversaire et cela sera indéniablement un bonheur pour vos oreilles. Il est logique que plusieurs compositeurs répondent donc présent, bien que la plupart des pistes aillent été composées par Nobuo Uemastu, d'autres de ses talentueux confrères viennent se joindre à lui. Masashi Hamauzu et Hitoshi Sakimoto signent pas mal de pistes de FFX et toute l'OST de FFXIII pour le premier ainsi que toute l'OST de FFXII pour le deuxième. Junya Nakano lui ne se voit attribuer qu'un seul thème pour l'instant, piste qui n'est malheureusement pas dans la cartouche du jeu mais seulement disponible en DLC . Nous ne referons pas l'histoire ici car nous savons tous que ces OST sont adulées et parfois moins aimées par certains fans méprisant tel ou tel épisode. Une chose cependant que l'on peu dire, c'est que le mélange des genres est plutôt réussis et que toutes ses musiques sans exception feront ressurgir des souvenirs lointains des fans et qu'un violent coup de nostalgie se fera ressentir. Les non connaisseurs eux apprendront certainement à apprécier et savourer toutes les musiques des différents opus, car même en aillant chacun leurs sonorités qui leurs sont propres, touts les Final Fantasy ont un point qui leurs sont commun. On parle bien sûr de leurs mélodies qui restent dans la tête et qui se gravent au plus profond des recoins de votre esprit. Cela est d'autant plus vrai avec les compositions de Nobuo Uematsu car ce monsieur a un véritable don, il faut l'avouer et qu'il considère ses musiques comme ses enfants et les soignent donc avec amour jusqu'au dernier instant. Petit détail intéressant, vous pourrez baisser ou couper tout bruitage autre que l'OST pour n'entendre plus qu'elle, un petit plus bien appréciable si on veut juste écouter la bande son en jouant tranquillement. (
Note d'Anakaris: et la preuve que Square-Enix sait que le principal atout de son jeu reste ses mélodies légendaires! Ils savent ce qu'ils font, chez SE)
La jouabilité du titre de base est en réalité très simple et particulièrement agréable à prendre en main, il vous faudra vous munir de votre stylet et tapoter sur votre écran tactile, tout cela pour valider des touches appelées "notes" qui apparaîtront sur une barre de défilement en suivant de façon très convaincante le rythme de la musique. Il vous faudra valider les notes au meilleur moment pour effectuer si possible des "Critical" qui valent le plus de points, vos réflexes seront votre principal atout. Voilà c'est tout ! Autant dire que la prise en main est immédiate et que tout le monde est capable d'y jouer, même les novices y arriveront en mode "campagne". Il y a trois phases de jeux distinctes, des Event Music Stages, Field Music Stages et pour finir les Battle Music Stages.
La première des phases de jeu consistera dans des cinématiques/cut-scènes interactives qui seront sûrement les niveaux les plus simples à mener à bien. Dans cette phase de jeu il n'y aura que trois genres de notes à effectuer. La note toute bête, où il suffira de tapoter une fois l'écran du bas de votre 3DS avec le stylet, la note continue où il faudra tapoter votre écran et laisser le stylet jusqu'à ce que la note se termine et pour finir la note de direction qui vous demandera de réaliser une direction avec votre stylet pour la valider, par exemple une flèche qui montrera la direction "haut".
La deuxième phase du jeu consistera en la visite de quelques contrées de Final Fantasy dans un style très épuré. Ces ballades étant déjà un peu plus compliquées, vos réflexes devront s'éveiller un tantinet plus. Vous devrez en effet suivre des sortes d'ondes musicales en maintenant votre stylet sur l'écran et combiner ce que vous aurez appris dans les Event Stages comme de suivre une ondulation et à la fin de celle-ci donner une direction "bas" à votre pointe par exemple. Le but ici sera d'aller le plus loin possible, c'est cela qui vous donnera le plus de point pour faire du scoring.
La phase de Battle Music Stages est la dernière des phases, mais non des moindres mise à part le ending thème qui est à chaque fois une vraie promenade de santé, cette phase est sûrement la plus difficile (mis à part quelques cas) car c'est celle-ci qui vous demandera le plus de réflexes mais qui sera sûrement la plus ludique d'entre toutes à vos yeux ! Celle-ci verra vos quatre héros être alignés comme dans un combat de Final Fantasy de la génération Snes en face de vagues d'ennemis. Cette phase utilisera tout ce que vous avez appris mis à part les notes ondulatoires qui auraient sans doute alourdis cette partie du jeu.
Le dernier genre de "note" dont nous n'avons pas encore parlé est quelque chose de vraiment sympathique. La Feature Drive de couleur vous permettra dépendant du niveau dans lequel vous êtes, si vous réussissez à ne louper aucune de ces notes bien sûr de faire appel à une invocation destructrice lors des combats, d'un Chocobo de couleurs différentes qui vous permettra d'avancer beaucoup plus rapidement dans un niveau de ballade ou de voir des scènes en version longue lors des Events.
Pour finir vous débloquerez le mode "Chaos Shrine", terriblement accrocheur, celui-ci vous proposera des défis aléatoires d'une difficulté elle aussi aléatoire allant de normal à absolument hardcore. Ce mode vous proposera une tonnes de défis, de quoi passer des heures et des heures dans celui-ci sans voir le temps passer, si on ne fait pas attention on devient vite accro. La coopération en local pour ce mode est vraiment la bienvenue et bien pensée. Vous pourrez partager de bons moments avec un où des amis ou encore votre moitié pourquoi pas. En tentant de mener à bien le nombre faramineux des défis à la difficulté parfois complexe, vous comprendrez alors vite qu'une aide peu s'avérer vraiment précieuse. La coopération peut aller jusqu’à 4 joueurs.
Son gameplay accessible, ainsi que ses trois phases bien distinctes proposant 2 difficultés différentes dont une troisième déblocable sous certaines conditions , permettent au jeu de renouveler sur le long terme son expérience tout en laissant respirer le joueur. Cela permettra d'attirer un large panel de joueurs, même les plus réfractaires aux jeux de rythme, parlez en autour de vous. En parlant des personnes réfractaires aux jeux de rythme, le jeu se voit doter d'un côté Rpg "à la Final Fantasy" dans la gestion de vos personnages. En effet pour réussir toutes les phases de jeux vos personnages ne devront pas mourir car effectuer des "Miss" ou "BAD" vous fera perdre des HP et que si votre équipe est décimée c'est le game over et il vous faudra reprendre le thème en cours de zéro. Vos personnages auront donc des niveaux, des HP, des compétences et tout ce qui va avec. Vous pourrez faire progresser vos guerriers, gérer vos compétences et installer des objets pour vous faciliter la tâche en cas de situation périlleuse. Le jeu se dote ainsi d'une profondeur insoupçonnée qui en impressionnera plus d'un, et c'est franchement la classe ! Tout cela vous permettra d'être plus puissant, de battre plus d'ennemis lors des phases de combats par exemple, ce qui vous fera faire de meilleurs scores et ainsi récolter plus de points qui vous permettront de débloquer une tonne de bonus comme des personnages supplémentaires et de nouvelles musiques et remplir votre musée pour contemple des cinématiques et autres en toute tranquilité. Les fonctionnalités Street Pass du soft permettent d'échanger des "ProfiCards" qui sont des sortes de carte de joueurs possédant vos informations de jeu ainsi que des "Dark Notes" que vous aurez réussi à finir. Les possibilités des Dark Notes sont quasiment illimitées car celles-ci sont générées de façon aléatoire et que donc la difficulté, les notes qui sont dans la piste, les changements de rythme et la musique elle même seront quasiment à chaque fois différents. Plus vous échangerez via StreetPass et plus vous aurez de défis annexes de côté !
Nous pensons vous avoir tout dit sur Theatrhythm: Final Fantasy, il s'agit ici d'un soft véritablement complet qui rend un bien bel hommage aux compositeurs de Final Fantasy et à la licence elle même. Il ne s'agit pas donc pas d'un jeu bas de gamme fait à la va vite pour gagner de l'argent sur le dos des fans, mais au contraire d'un très bon jeu, accrocheur, travaillé tant dans le fond que dans la forme et qui vous fera passer d'excellents moments. Les novices ainsi que les hardcore gamers pourront se réunir autour de ce titre et s'amuser. Jouable en coopération en local le jeu vous fera partager de bons moments avec d'autres joueurs également. Même si les DLC sont un peu limite dans ce jeu, le titre qui respecte véritablement les fans en étant déjà de base très complet. Au final, Theatrhythm ressemble à un bon gros gâteaux d'anniversaire emprunt de pleins de fantaisies au goût franchement savoureux.
Testé à partir d'une version commerciale
