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Resident Evil : Le Dossier
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rétrospective
  Dossier
réalisé par
Evil
 
 

Le concept

Le principe de la saga et simple. RE est conçu comme un film de série B, avec des angles de caméra prés définis sur des décors 2D pré-calculés. Certain élément comme les meubles ou les protagonistes du jeu sont en 3D temps réel. De plus, une atmosphère sonore oppressante vient encore agrémenter le degré de sueur froide, sans oublier des passages ou votre sang ne fait qu'un tour, quand une des charmantes bestioles qui peuplent les lieux, vous fait sursauter au détour d'un couloir ou d'une porte. L'aventure commence armé d'un Berreta 9mm et de votre courage, le tout servi avec un scénario à multiple rebondissement et une bonne dose d'énigmes. La série Resident Evil (Bio Hazard) s'est écoulée à plus de 20 millions d'exemplaires à travers le globe (tous supports et versions confondues). RE à marquer l'histoire du jeu vidéo malgré une maniabilité souvent décriée. Certains épisodes ont été des portages multisupports en passant de la Gameboy aux machines les plus récentes ! 

eyeComment est né le Survival Horror ?

Capcom a eu un beau jour envie de diversifier son catalogue de soft contenant essentiellement des jeux de combats et de plates-formes. Avec l'arrivée de la PlayStation, Shinji Mikami jeune réalisateur de talent chez Capcom, décide de propose de développer le concept du jeu Sweet Home (titre mythique de la Nintendo 8bits NES) et de le pousser dans ses derniers retranchements. Notre réalisateur avait derrière la tête depuis longtemps, le projet de créer un jeu qui procurerait autant de sensation forte, qu'un bon film d'épouvante. Fortement inspiré par la série de jeu vidéo Alone in the Dark et par les films d'horreurs des années 70-80, Il a pris comme référence, les éléments les plus marquants de certains d'entre eux. Il n'est pas rare en effet de retrouver des similitudes parfaites entre RE et certains passages de film connus, par exemple de la trilogie des " Zombie de George A. Romero " ou " les oiseaux, d'Alfred Hichtcock " et bien d'autres encore.  Les sueurs froides et les dents qui claquent venaient d'être inventées dans un jeu vidéo...


L'historique

eye(Épisode Zero)

Tout à commencer par le rappel d'incidents bizarres qui se sont déroulés dans la forêt aux alentours de la ville de Raccoon City. Les cadavres retrouvés ont apparemment été dévorés et sont atrocement mutilés. Les autorités locales décident d'envoyer une unité spéciale des S.T.A.R.S. sur les lieux pour enquêter. L'équipe Bravo suite à un accident d'hélicoptère se retrouve perdue au milieu des bois. Leur unité se sépare en différent petit groupe pour mener leurs investigations. Rebecca Chambers se retrouve embarquée dans un train fou sans conducteur. C'est là que notre jeune membre de l'équipe Bravo va faire la connaissance de Billy Coen un ancien mercenaire en fuite, qui va lui prêter main forte. Nos deux protagonistes vont affronter le Dr.Marcus le créateur du fameux virus T et ces premières créatures génétiques. Une fois sortis de l'enfer, Rebecca et Billy se séparent. Notre jeune aventurière se réfugie dans le fameux Manoir (Spencer Mansion).

eye(Épisode 1)

L'équipe Bravo ne donnant plus aucun signe de vie depuis plus de 24 heures. Un 2ème commando d'élite de la Police locale par à leur recherche. Jill Valentine et Chris Redfield font partie de cette unité et sont les protagonistes principaux de cette aventure. Arrivée sur les lieux du crash de l'hélicoptère de la Bravo Team, l'Alpha Team se fait mettre en difficulté par une attaque de créature décharnée. Une partie du groupe étant décimée, seul Jill, Chris, Barry et Wesker trouvent refuge dans le manoir qui se trouvant à proximité du lieu de l'incident. Nos héros vont y découvrir l'existence du virus T. Ils comprendront qu'ils ne sont que les marionnettes de Wesker et les cobayes d'une multinationale pharmaceutique du nom d'Umbrella. Après avoir affronté la mort de prêt et réussi à surmonter tous les obstacles, Chris, Jill, Barry et Rebecca parviennent à s'enfuir du manoir avant que ce dernier n'explose dans un beau feu de joie.

eye(Épisode 2)

Pendant ce temps, Claire Redfield recherche son frère Chris, disparu depuis quelques jours. Clair se rend donc à Raccoon City. Elle va y croiser Leon S. Kennedy un jeune flic à qui cela devait être son premier jour de travail au sein des S.T.A.R.S.
Malheureusement pour eux la ville n'est plus que ruine et désolation ou les zombies pullulent par centaine, le virus s'est propagé dans tous les coins. Nos 2 compères y croiseront William Birkin, l'un des chercheurs à l'origine du virus T. Ce dernier à modifier la structure génétique du virus le rendant encore plus dangereux. Le virus G était né ! Birkin, suite à un assaut des forces spéciales d'Umbrella fut pratiquement tué. Mais le savant s'est injecté une dose de son nouveau produit. Leon et Clair l'affrontèrent et réussir à s'enfuir avant que la ville ne soit rayée de la carte.

eye(Épisode 3)

Le troisième épisode nous raconte la fuite de Jill Valentine avant que Leon S. Kennedy et Clair Redfield n'arrivent à Raccoon City. Notre héroïne, pour se changer les idées après les événements du fameux manoir, décide de sortir en ville pour y passer la soirée. Mais voilà, le virus n'est pas du même avis en transformant la joyeuse sortie en cauchemar. Les commandos d'élite d'Umbrella vont lui mener la vie dure. Ces derniers lâches sur elle le NEMESIS un monstre génétique gigantesque, qui va la poursuivre tout au long de son escapade. Heureusement, elle va y faire la connaissance de Carlos Oliveira (un mercenaire d'Umbrella qui a changé de camp) qui va lui prêter main forte. Nos protagonistes parviendront en sans débarrasser et à fuir cette ville maudite par hélicoptère, avant qu’elle ne soit réduite en poussière suite au lancement d'un missile thermonucléaire.

eye(Épisode Veronica)

Quelques semaines plus tard, Clair Redfield est toujours sans nouvelle de son frère Chris, aux dernières nouvelles, il semblerait que ce dernier se trouverait à Paris dans les laboratoires européens d'Umbrella Corp, pour continuer l'enquête sur le virus. Clair se retrouve capturée et emmenée sur une île au beau milieu de l'océan pacifique. Sur cette dernière, notre héroïne va faire la connaissance de Steve Burnside. Ensemble ils vont affronter les descendants de la famille Ashford, fondateur d'Umbrella, et aussi l'infâme Wesker qui est génétiquement modifié. Steve sera malheureusement contaminé par le virus et Clair sera obligé de le tuer. Pendant, ce temps Chris Redfield en cour de route a été informé par Leon, que sa sœur était partie à sa recherche. Notre membre des S.T.A.R.S de service, la retrouve et vient lui porter secours. Tous deux s'enfuiront après une rude bataille.

eye(Épisode 4)
Six années se sont écoulées depuis la destruction totale de Raccoon City par un missile thermonucléaire. Umbrella Corporation et la tragédie des virus T et G ne sont plus. La paix et la sérénité semblent s'être installées durablement. Mais.
Leon Scott Kennedy (Resident Evil 2), entre temps est devenu garde du corps du président des Etats-Unis.
Notre cher ami des ex-S.T.A.R.S de la police spéciale de Raccoon City, se retrouve parachuté en mission en Europe dans un "pueblo" espagnol perdu, à la recherche de la fille du président américain, qui a été kidnappée par une bande hérétique, qui prêche une drôle de religion locale du nom d' « Illuminados ». Quelque chose me dit que des vieilles connaissances seront de la partie également. Leon parvient à sauver la fille du Président et se rend compte que Wesker se trouve derrière cette nouvelle histoire. Car ce dernier cherche à se procurer une sorte de parasite qui permet de contrôler les gens par la pensée. Son but refaire naître Umbrella de ces cendres.

eye(Épisode 5)
Suite aux investigations menées sur l’enlèvement de la fille du président américain au milieu d’une contrée européenne hostile, par Leon S.Kennedy, celui-ci avait découvert la présence d’une secte qui utilisait des parasites pour contrôler ses fidèles. Les symbiotes une fois injectés par voie orale à leurs hôtes rendaient ceux-ci plus intelligents et dangereux que le virus « Progenitor » ne l’avait fait à Racoon City. Plus tard, le garde du corps personnel du président américain, découvrait que ce cher Albert Wesker et les restes encore fumant d’Umbrella Corporation se devinaient derrières cette machination…
Depuis la disparition d’Umbrella, les recherches pharmaceutiques effectuées en son sein se sont vite retrouvées dispersées à travers la nature, tombant dans les bras des terroristes internationaux qui cherchent à les utiliser à des fins de destruction.

Devant cette menace de plus en plus pesante, les anciens membres encore opérationnels de la police d’Elite de Racoon se sont enrôlés dans une section spéciale des forces d’intervention américaine nommée B.S.A.A (Bioterrorism Security Assessment Alliance). Chris Redfield et Jill Valentine en sont les plus glorieux représentant. Lors de l’une de leur investigation périlleuse au Caucase Russe, Jill disparue tragiquement en mettant fin aux recherches d’un laboratoire clandestin …

Actuellement, Le B.S.A.A est envoyé de toute urgence en Afrique dans le Village de Kijuju. Des rumeurs prétendraient que des actes bioterroristes y ont eu lieux métamorphosant la population et la faune locale en créatures barbares et irréfléchies. Chris est épaulé par Sheva Alomar, une redoutable agente des forces locales. Dans l’ombre des épisodes précédant, l’aventure nous entraîne dans une enquête qui sent bon le virus et comme par hasard, TRICELL Inc Africa y mène des « études » scientifiques.

eye(Épisode 6)
Resident Evil 6 met en avant plusieurs des protagonistes de la saga, au milieu d’intrigues entremêlées qui finissent par se rejoindre à un moment donné.  Les fans retrouveront avec plaisir les héros de leur jeunesse : Chris Redfield, Leon S. Kennedy, Sherry Birkin qui seront accompagnés par Helena Harper, Piers Nivans et  un protagoniste inédit du nom de Jake Muller. Chaque héros se voit affublé d'un partenaire respectif qui l’aidera sur le terrain à grand renfort de cartouches et de sprays soignants.  Bien entendu la coopération en multi-joueurs  fait partie intégrante de cette chasse aux zombies. Toutes aides d’un joueur humain est la bienvenue pour espérer soutenir le rythme effréné et les difficultés accrues qui surgissent à tous les coins de rue. Pour les chanceux qui arriveront au bout des 15 chapitres scriptés et torturés de cette épisode, un scénario supplémentaire se débloquera pour les fans, les plus puristes de la série mettant en avant la troublante Ada Wong.

L’aventure se joue totalement différemment d’une histoire à l’autre offrant des rebondissements et des phases d’explorations aux antipodes les unes des autres.  Le scénario de Leon et Helena (Une nouvelle héroïne) est beaucoup plus dans les arcanes du premier Resident Evil avec un huit clos étouffant où chaque munition est comptée, laissant l’adrénaline monter crescendo au fil des passages et des embuscades de morts-vivants. Nous plongeons directement dans des scènes visuellement proches de bons vieux films d’horreurs en carton-pâte dignes des années 80 ! D'ailleurs vous commencer l'aventure dans une université lugubre où les seules personnes encore en vie semblent être vous et votre coéquipier. L'ambiance glaçante d'éclairs et de bruits de tonnerres, laissent vite entrevoir les tâches de sang dans des décors digne du château de Vlad Tepes. Mais très rapidement le rythme va s'accélérer plongeant notre duo dans des égouts peu ragoutant qui les mèneront aux devant d'une imposante cathédrale véritable porte qui les conduirons au cœur des enfers. Certains passages seront donc crispant de difficulté avec de véritables sièges en règle face à des nuées de monstruosités teigneuses et agressives avec pour rajouter une dose à votre chemin de croix des obstacles infranchissables qui seront pour vous autant de pierres tombales. Des phases de QTE longues et ennuyeuses vous conduiront à affronter un boss résistant aux allures de Godzilla qui refusera obstinément de crever avant que le script ne l'y autorise.

Le scénario de Chris et Piers (Un membre du BSAA ancien soldat ayant servi sous les ordres de Chris) baigne quant à lui dans l’action pure façon Expendables 2. Titre ô combien connu des amateurs de films « d’auteurs » du moment. Dans cette partie, les munitions et les exécutions sommaires sont légions ne laissant que peu de place à la réflexion ! Tout est bon pour se défourailler du Javo à travers les paysages des pays de l’Est est de la Chine. De la testostérone en puissance façon  Lost Planet ! Qui dit action, dit également ennemis et boss ravagé des méninges ! Malgré le partit-prix de nous imposer un gameplay Call of Duty of Wars des plus improbable au milieu d'architecture des plus diverses et fort réussies, en ce qui concerne la Chine et ses dédales dans des immeubles aux couloirs étriqués et totalement ratés pour l'Estern Europe qui vire à la guerre mondiale biologique, les deux personnages se complètent très bien et sont même bien plus agréable à jouer que leurs comparses avec un duo attaque puissante et rapprochée/ sniper d'élite qui se prête très bien au rythme soutenu du scénario. Chris encaisse mieux et peut littéralement faire des ravages avec son couteau tandis que Piers met la pression aux grosses bestioles avec son calibre fusil antichar. Mention spéciale aussi à de toutes nouvelles créatures tout droit sortie du grenier de Giger et dont les cris abominables et leurs incroyables mutations vous mettront illico la pression dans les coursives sombres de bien étrange porte-avions.

Le scénario de Jake fait dans la course poursuite stressante et pesante ou une sorte de gorille mutant géant vous poursuit afin de vous prélever votre sang à l’aide de seringues accrochées à ses doigts. Poursuivit sans relâches, les séquences qui en découses sont aussi folles que la grosse boule de rocher qui dévale derrière Indiana Jones dans les aventuriers de l’arche perdu. La moindre erreur de jugement et de pression sur le bon bouton qui s’affiche à l’écran et c’est la fin ! Jake est un personnage au passé troublé qui semble immunisé contre la nouvelle forme du virus mis au point par Neo-Umbrella. Wesker ne doit pas être très loin…


Resident Evil 0 (L'Orient Express)



L’action nous emporte immédiatement dans les sinuosités du scénario de la légende Resident Evil aux origines. L’histoire se place quelques heures avant les fait du manoir Spencer, avant même la venue de l’escouade composée de Wesker, Chris Redfield, Barry Burton et de Jill Valentine. L’équipe Bravo est détachée sur les lieux après une série énigmatique de meurtres sordides qui ont eux lieu dans cet endroit. Mais en cour de chemin, l’hélicoptère de la mission s’écrase en plein milieu de la campagne. L’aventure nous met aux commandes de Rebecca Chambers des forces S.T.A.R.S de la police de Racoon City, ainsi que de Billy Cohen, un ancien prisonnier en fuite qui s’est trouvé là où il n'aurait pas du être à ce moment précis ! La péripétie débute donc devant un train en panne et se poursuit dans un manoir lugubre. Le propriétaire des lieux est un ancien généticien « fou » d'Umbrella Corp, qui cherche à tout faire pour se venger de la société pharmaceutique qui l’a grugé. Ce dernier va mettre nos héros en plein milieu de sa petite guerre personnelle.

Cette réadaptation n'offre pas directement de nouveauté transcendantale. Le contrôle est totalement familier et le maniement au Nunchuk/Wiimote n’apporte rien de différent. Aucun nouveau mouvement spécifique n'a été rajouté. Cependant Resident Evil Zero propose quand même quelque chose de sympathique: la possibilité de jouer avec deux protagonistes en même temps. En cour de partie vous serez continuellement obligé de passer d’un protagoniste à l’autre pour réaliser certaines actions délicates ou résoudre des casse-têtes bien tordus. Le tout s'effectue en appuyant hâtivement sur une touche avec seulement 2 secondes de chargement, quelle que soit la position et l'éloignement des acteurs sur le terrain. Quand vous contrôlez Rebecca par exemple s'est l’I.A qui prend en charge Billy Cohen et vice versa ! Ce qui oblige constamment à soutenir et secourir son collègue, quand celui-ci tombe dans une embuscade de zombies inassouvis de cervelles fraîches. Quand les deux membres sont ensemble dans la même zone, ces derniers se protègent mutuellement en tirant sur les ennemis à proximités. La possibilité d’octroyer des dispositions (reste-là, viens, couvres-moi) à son coéquipier contrôlé par l'ordinateur, permet de mieux mener l’action.
La grosse surprise de taille de cette pré-quelle, provient de la disparition totale des fameux coffres d’inventaires. Ceux-ci étaient présents dans les autres épisodes et ont été complètement supprimés du jeu. Ce qui oblige une gestion plus recherchée de son inventaire en se créant des zones de récupération d'objet sur la carte.

Resident Evil 1 (Maison hantée)


Le premier titre de la série. Dans la jolie et tranquille petite ville américaine de Raccoon City, les rumeurs font état de faits étranges se produisant dans la forêt ou des cadavres atrocement mutilés ont été retrouvé. Vous faites partie de l'Alpha team des S.T.A.R.S., les troupes d'élite de la police locale. Votre but récupérer les membres de l'équipe Bravo partis enquêté 24 heures auparavant et qui ne donnent plus aucun signe de vie.

Le soft proposait deux scénarios différents au choix. On pouvait incarner soit Chris Redfield qui correspondait au mode difficile ou JilI Valentine pour le mode facile.

eyeVersion PlayStation

Tout le monde s'en souvient avec une larme de nostalgie, de la fameuse vidéo d'introduction mettant en scène une bande d'acteur armé de pistolet en plastique, tirant comme des malades sur des têtes de chien en latex, tout en courant comme des lapins à travers une clairière. Que du bonheur !
Et Le fameux manoir (SPENCER MANSION), Ce dernier contenait des tas de créature informe et dangereuse. C'était le bon temps...

Graphiquement il était le plus beau titre vu sur la machine de Sony à l'époque, avec un mixage de décors 2D et 3D polygonale qui offrait un rendu très réaliste pour de la PSONE. Les décors pré-calculés étaient d'une finesse exceptionnelle et les protagonistes qui peuple le jeu étaient modélisés avec un soin tout particulier. Chaque détail avait été pense de main de maître par Capcom. Le tout servie avec une ambiance à faire frémir de peur n'importe quel joueur.

eyeDirector's Cut

Ce jeu comporte quelques changements mineurs par rapport au jeu original, quelques cinématiques inédites des nouveaux costumes pour les protagonistes et des angles de caméra retravaillé. La difficulté du soft a été également retravaillé en offrant un challenge plus corsé. Mais l'attraction principal était la fameuse démo jouable de 10 mn de Resident Evil 2.

eyeVersion SEGA SATURN

La 32 bits de SEGA, la Saturn a eu l'honneur également de disposer d'une version spéciale de RE. Pensée pour la 2D la console de maître Sega ne proposait pas des graphismes à la hauteur de son homologue PlayStation mais s'en tirait malgré les limitations techniques. Autant les décors sont d'une finesse inégalée, autant les protagonistes et les objets semblent être composés de bouillie de polygones disgracieux. Mais cette version propose des ajouts inédits comme un nouvel adversaire dans les souterrains, deux " Tyrants " dans le laboratoire et un nouveau mode de jeu, le Battle Game en vue subjective.

eyeVersion GameCube

Autant mettre carte sur table tout de suite ! Ce remake n'a plus grand chose en commun avec son aïeul. En effet il n'y a plus que 30% du titre que les vieux routards connaissent et 70% de nouveauté qui viennent changer la donne de l'aventure. Le premier changement radical provient des graphismes qui laissent sur les fesses ! Carrément photo réaliste ! La modélisation et la réalisation sont des pures merveilles ! Les animations sont hyper poussées, jusqu'à voir bouger chaque brin d'herbe individuellement les uns des autres. Mais là où le jeu fait très fort c'est surtout sur les effets spéciaux, tel que les éclairages en temps réels qui baignent l'atmosphère des décors et des protagonistes de façon très naturelle. Il faut voir les différents éléments s'illuminer pendent un orage du grand art ! La maniabilité ne posera aucun problème car pour une fois la configuration des touches est par défaut optimisée. Le seul reproche que l'on peut faire au contrôle du personnage, c'est quand vous essayez de tourner sur vous-même. On dirait Robocop qui à perdu le sens de l'orientation en se bougeant lourdement. Attention ! Capcom vient de nous sortir le jeu le plus aboutit techniquement du moment tout support confondu. Je vous le dis haut et fort ce Biohazard est un bijou qui offre une durée de vie conséquente même pour ceux qui le connaissent sur le bout des doigts. D'ailleurs ceux qui sont vacciné au Survival Horrors, vont être surpris d'éprouver de nouveau de la trouille. Un chef-d’œuvre pour tout joueur qui se respecte et un grand jeu pour la Gamecube.

eyeResident Evil Deadly Silence

Une fois encore Capcom sort sur une console Nintendo un titre exclusif. Le cas ici sur DS avec Resident Evil Deadly Silence. La dernière fois que Capcom sortait un titre que pour Nintendo, c'était bien évidemment le génial Resident Evil 4 sur Game Cube. Bien que cette exclusivité ne dura qu'un temps pour le sortir ensuite plus tard sur PlayStation 2, disons le clairement que la plus belle version est sur Game Cube, les joueurs n'ayons que la PS2 doivent s'en mordre les doigts. Revenons à nous moutons avec ce premier épisode sur DS. Deadly Silence bien qu'il s'agisse d'un nouveau titre n'est pas un épisode inédit. C'est tout bêtement le remake du tout premier Resident Evil sorti en 1996 sur la première PlayStation. Les angles de caméras sont identiques, mais avec un progrès dans ses décors, qui sont içi entièrement en 3D. Ce qui n'était pas le cas dans la version de 1996 qui mixer 2D et 3D.


Resident Evil 2 (La cité de la peur)



Cette fois vous pouvez choisir de jouer soit avec Claire Redfield ou Leon s. Kennedy et bien évidement l'histoire est tout à fait différente pour les deux persos mais elle se rejoint à la fin. Embarqué dans une histoire de ville fantôme infestée de zombie, vous trouvez refuge dans un commissariat de police et vous devez trouvez par tous les moyens la façon de sortir de ce cauchemar. Des énigmes très bien pensées vous font réfléchir et galérer dans un univers qui est déjà tellement flippant, que des fois vous voulez très rapidement réussir à trouver la solution pour y échapper. Non, vraiment le point fort du jeu est sans aucun doute l'angoisse et la sensation de peur qui vous envahissent sans cesse. Par exemple vous longez les couloirs pour trouver une pièce à explorer et tout à coup vous vous faites sans aucune raison attaquer par une plante carnivore géante ou par un troupeau de zombie assoiffé de sang. La liberté totale de déplacement dans le jeu augmente encore plus cette sensation d'angoisse car vous ne savez jamais sur quoi ou sur qui vous allez tomber...

Si le jeu lui même ne suffit pas, vous avez toujours la possibilités de jouer à plusieurs modes, à savoir le Extrême battle (débloqué une fois le jeu terminé) qui vous permet de choisir entre plusieurs héros du jeu armés jusqu'au dents, le but est simple, trouvez le chemin jusqu'à l'endroit indiqué et dégommer le plus de créatures sur le passage, j'adore! L'option Art Gallery qui vous laisse visionner des clichés et photos du jeu ainsi que toutes les cinématiques. Le mode arrangé Rookie vous permet d'acquérir, dès la première partie, le MAC 10, la mitrailleuse rotative et le lance missile, tous en munitions illimitées, youpee! On peut se venger, maintenant c'est vous qui avez la liberté d'expression, de quoi vous détendre les nerfs...

Même si les décors sont en 2D pré-calculés, on a vraiment l'impression d'y être. Les caméras sont très bien pensées et ne posent aucun problème, au contraire, ils viennent donner de "l'effet de surprise". L'on aimera ou pas les portes qui s'ouvrent tout le temps qui sont censés donner un effet d'immersion virtuel dans le jeu, mais ils sont là en fait pour vous faire patienter pendant le chargement du jeu. Les personnages quoi qu'un peu raide sont très bien réalisés. Les zombies quand à eux font preuve de grand art, la façon qu'ils se déplacent est tout bonnement grandiose. Mais le plus impressionnant reste encore les araignées géantes qui vous courent après et vous donnent la chair de poule, je vous assurent qu'elles font très peur, surtout que si vous utilisez la mauvaise arme contre elles, celles-ci explosent et libèrent leurs bébés qui vous courent après et vous empoisonnent, à vous de choisir mourir ou trouver l'antidote (une herbe bleu mélangée à une de couleur verte). Si vous en avez assez des chiens qui aboient dans votre quartier, vous allez pouvoir vous régaler en douce assis dans votre fauteuil chez vous à les exterminer (je plaisante, ils sont sympas les chiens.)

Le travail qui a été effectué coté son est stupéfiant, je ne sais pas comment cela à été fait (certainement un travail colossale) mais grâce à ce travail de génie, le jeu prend vie, d’où sa grande personnalité. La musique colle parfaitement à l'esprit angoissante du jeu. Bien des fois pour éviter la crise cardiaque, il serait conseillé de l'éteindre. Booo!
Resident Evil 2 est comme les autres RE, un bijou de perfection. Je suis d'avis que ce jeu justifie l'achat d'une console, croyez-moi vous allez l'adorer, courrez vite l'acheter, foncez!


Resident Evil 3 (Une nuit en enfer !)



Le scénario se passe chronologiquement, 24 heures après le un et 24 heures après le deux. N'essayez pas de comprendre le quoi du comment, il sont complètement déjantés chez Capcom. Donc vous y retrouverez avec plaisir l'héroïne du premier volet, Jill Valentine. Qui pour se changer les idées après les événements du fameux manoir, décide de sortir en ville pour y passer la soirée. Mais voilà, le virus d'Umbrella n'est pas du même avis en transformant la joyeuse sortie en cauchemar. Et oui les zombies sont de nouveau au rendez-vous pour faire régner le chaos et la désolation sur la pauvre ville de Racoon City. Le troisième épisode en réalité est là pour faire la lumière sur les passages restés volontairement inexpliqués dans les deux premiers volets. Le titre aurait put s'appeler Resident Evil 1/2. Il ne reste qu' une seule chose à faire pour Jill, se carapater de cette ville démoniaque. Et c'est à vous de tout faire pour quelle y parvienne. D’où le nom japonais du jeu Bio Hazard 3 last escape ( la dernière échappée ).

Du réchauffé me direz-vous, en bien non ! Des changement il y en a des tonnes. Les quels ? Et bien, les zombies sont doués d'une toute nouvelle intelligence basiques (cervelle !). Ils vous traquent en ouvrant les portes et en marchant dans les escaliers. Jill peut esquiver les attaques des monstres en se bougeant sur le coté, vous pouvez aussi également la faire se retourner instantanément pour vous enfuir sans trop perdre de vie. Vous avez également, la possibilité de crée vos propres munitions pour vos armes en mélangeant diverses poudres à l'aide d'un kit de fabrication de cartouche, il sert pour toutes les sortes armes du jeu, du fusil en passant par le bazooka etc...tout dépend des différents dosages. De plus le sentiment d' insécurité et encore plus renforcé que jamais, du fait qu'une grosse brute nommé Nemesis armé d'un lance-roquette, vous pourchassera tout on long du jeu dans la seule attention de vous transformez en descente de lit. De plus dans certain passage de l'aventure vous avez la possibilité de faire plusieurs choix se qui à pour effet de rendre chaque partie totalement différente. Dans les passages les plus délicats les programmeurs ont inclut des explosifs sous la forme de baril et autres objets, qui en tirant dessus ont pour effet de tuer toutes hordes de monstre qui se trouveraient à coté. J'allais oublier, c'est aussi, le grand retour des énigmes tordus. Le moteur du Soft est toujours basé sur ces prédécesseurs. Décors pré-calculés et protagonistes en 3D temps réel. Graphiquement les décors sont super détaillés et texturés le plus fidèlement possible par rapport à la réalité. Les monstres et tous les objets quand à eux sont modélisés de manières réussis. Il faut voir les protagonistes en gros plans pour se rendre conte de la qualité du travail effectuer par Capcom himself. L'animation est parfaite et sans faille. Sa bouge bien. Quelques bugs d'affichage sont malheureusement à déplorer, mais rien de méchant. L' atmosphère musicale et sonore ressemblent en tous points aux versions antérieures. La jouabilité est toujours de mise c'est du Capcom. Les Actions à la manette sont toujours les mêmes. Je ne vais pas commencer à rentrer dans le sujet plus profondément, les habitués retrouveront leur marque les yeux fermés. Quand aux nouveaux joueurs, ils ne devraient pas mettre plus de cinq minutes pour commencer à atomiser la population de zombie du jeu. Sa durée de vie est assez longue, avec les bonus obtenus, une fois le jeu terminé, Il y en a au moins pour vingt à trente heures avant de le finir à 100%.

Resident Evil: Code Veronica (Les mondes perdus)



Vous incarnez Claire Redfield, qui est à la recherche de son frère Chris disparu, depuis les événements tragiques du fameux manoir. Lors de ces recherches en Europe, plus précisément dans une des filiale D'umbrella à Paris. Celle-ci s'y fait capturer. Notre héroïne se réveille dans une cellule sur une île desserte enfin presque... L'aventure commence ici...

Tout de suite, on est accueilli par une intro en images de synthèse digne des plus grands films d'actions hollywoodiens qui nous mets tout de suite dans le bain. Le plus fou c'est que le passage des images de synthèse aux graphismes du jeu n'est pas si flagrant que ça.

Graphiquement le soft est de toute beauté. Les détails visuels sont à couper le souffle. La modélisation des protagonistes est le point fort du soft. Les personnages sont de toute beauté, et les décors sont d'une richesse impressionnante. L'animation, quand à elle, est tout simplement parfaite, aucun ralentissement particulier à signaler, elle est d'une incroyable fluidité pour le premier Resident Evil en 3D, du travail de maître, merci Mr Capcom. La bande Son augmente encore plus l'ambiance glauque du jeu. Les bruitages collent parfaitement à l'esprit des zombies et autres horreurs du monde de Code Veronica. Elle contribue à cette sensation de peur et d'angoisse constante durant tout la durée de l'aventure. Bref du grand art. La Jouabilité est bonne, comme d'habitude chez Capcom, ça répond au doigt et à l'oeil. La prise en main est parfaite, rien à en redire. Juste peut-être une chose, la difficulté est assez importante dans la version Européenne, mais elle n'est absolument pas insurmontable.

Resident Evil 4 (le Far East Movement)



Six années se sont écoulées depuis la destruction total de Raccoon City par un missile thermonucléaire. Umbrella Corporation et la tragédie des virus T et G ne sont plus. La paix et la sérénité semblent s'être installer durablement. Mais.
Leon Scott Kennedy (Resident Evil 2), entre temps est devenu garde du corps du président des États-Unis.
Notre cher ami des ex-S.T.A.R.S de la police spéciale de Raccoon City, se retrouve parachuté en mission en Europe dans un "pueblo" espagnol perdu, à la recherche de la fille du président américain, qui a été kidnappée par une bande hérétique qui prêche une drôle de religion locale du nom d' « Illuminados ». Quelque chose me dit que des vieilles connaissances seront de la partie également.

Oubliez le « Survival Horror » et tout le gameplay des précédents épisodes. Resident Evil 4 s'est avant tout un renouveau, une refonte totale de la série. Là où beaucoup d'éditeur se contente de suite et de concept déjà existant, Capcom et l'équipe de Shinji Mikami ont osé toucher aux fondements de la série Resident Evil. En innovant et en faisant avancer de façon spectaculaires les choses.
Commençons par le début, prenons déjà les décors et les environnements qui sont totalement en pleine 3D. Tout les déplacements de Leon se font de façon libre grâce, à la caméra qui se situe juste au dessus de son épaule droite. Cette vue donne vraiment l'impression de jouer à un FPS, le tout avec la précision de tir de ce type de jeu en plus !
Le jeu est en format d'écran 16/9 pour donner une impression cinématographique, ce qui ne dérange pas vraiment une fois plongé dans l'aventure. Mais d'autre changement sont également présent, comme une interactivité totale ou presque avec le décor, Leon possède également une quantité incroyable d'action, il peut tirer sur tout ce qui bouge, casser des fenêtres, défoncer des portes, exploser des cadenas, bondir, faire du karaté, rouler, courir, nager, conduire, et encore pleins de petites choses très sympathique du style. Par moment vous vous retrouverez en compagnie d'Ashley et vous devrez par tout les moyen la protéger des assauts répétés des fanatiques qui cherche à l'enlever. A d'autre moment elle vous permettra de résoudre des puzzles et d'autre action du genre.
Au niveau des sauvegardes vous n'aurez plus besoin des rubans de machine à écrire, bien que ces dernières soient réparties judicieusement sur le chemin.
Ce qui était très ennuyeux dans le style de l'époque, c'était les allez et retour entre les différents coffres pour transporter son inventaire de gauche à droite. Maintenant tout l'équipement de notre héros se trouve sur lui-même et pas ailleurs. Une autre chose super innovatrice du titre s'est la possibilité de pouvoir customiser ses armes et son équipement, monnayant quelque pesetas au prêt d'un marchand ambulant à différent endroit du jeu. Mais comment gagner votre pognon ? Et bien, on n'en récoltant sur différent ennemis ou encore à l'aide de trésors dissimulez un peu partout sur le trajet.
Le jeu et découpé en huit chapitres gigantesques et chaque environnement et tout simplement époustouflant ! Tous plus beau les uns que les autres. Du paisible village LOL en passant par un château magnifique. Les détails graphiques sont poussés à l'extrême et chaque texture et un véritable plaisir pour les yeux ! Mais là ou vos mirettes en prennent pleins la tronche, c'est surtout au niveau des effets de lumière qui sont d'un degré de réalisme hallucinant ! Les animations ne sont pas en reste non plus. Il faut voir le vent dans les arbres et feuillages, l'eau qui coule etc.
Musicalement parlant s'est plutôt discret mais quand il faut que sa explose vous allez jubiler sur les différents morceaux orchestrer. Les bruitages sont super réaliste et les dialogues entre les ennemis sont super bien fait. La GameCube nous sort le grand jeu !

Exit les Zombies lents et stupides, place aux villageois possédés.
C'est dernier ont la fâcheuse tendance de vous attaquez avec des armes de toute sorte et de tout les cotés en même temps. Ils n'hésiteront pas selon votre style de jeu, à esquiver vos tentatives de plombage de crâne à grand coup de 9mm en vous tendant des embuscades.
Les fanatiques de la secte des « ILLUMINADOS » sont complètement à la masse un peu comme des chiens enragés. Le plus comique d'entre eux possède une tronçonneuse et vous fonce dessus, en défonçant les portes devant lui pour vous faire goûter à sa chaîne rouiller.
Mais que serait un bon Resident Evil sans des boss super balaises ? Ne vous inquiéter pas Lord Saddler le saint patron de la secte vous en réserves pleins, plus coriace les uns que les autres. Je ne vous en dirais pas plus a ce sujet à vous de les découvrir. Juste encore un petit détail qui a son importance, toutes les parties du corps de vos ennemis sont atteignables. Vous tirez dans les genoux et votre adversaire mettra les jambes à terre. Tout les impacts son géré de façon très réaliste. Du tout bon !

Resident Evil 5 (Saga Africa ambiance de la brousse !)



Suite aux investigations menées sur l’enlèvement de la fille du président américain au milieu d’une contrée européenne hostile, par Leon S.Kennedy, celui-ci avait découvert la présence d’une secte qui utilisait des parasites pour contrôler ses fidèles. Les symbiotes une fois injectés par voie orale à leurs hôtes rendaient ceux-ci plus intelligents et dangereux que le virus « Progenitor » ne l’avait fait à Racoon City. Plus tard, le garde du corps personnel du président américain, découvrait que ce cher Albert Wesker et les restes encore fumant d’Umbrella Corporation se devinaient derrières cette machination…
Depuis la disparition d’Umbrella, les recherches pharmaceutiques effectuées en son sein se sont vite retrouvées dispersées à travers la nature, tombant dans les bras des terroristes internationaux qui cherchent à les utiliser à des fins de destruction.

Devant cette menace de plus en plus pesante, les anciens membres encore opérationnels de la police d’Elite de Racoon se sont enrôlés dans une section spéciale des forces d’intervention américaine nommée B.S.A.A (Bioterrorism Security Assessment Alliance). Chris Redfield et Jill Valentine en sont les plus glorieux représentant. Lors de l’une de leur investigation périlleuse au Caucase Russe, Jill disparue tragiquement en mettant fin aux recherches d’un laboratoire clandestin …

Actuellement, Le B.S.A.A est envoyé de toute urgence en Afrique dans le Village de Kijuju. Des rumeurs prétendraient que des actes bioterroristes y ont eu lieux métamorphosant la population et la faune locale en créatures barbares et irréfléchies. Chris est épaulé par Sheva Alomar, une redoutable agente des forces locales. Dans l’ombre des épisodes précédents, l’aventure nous entraîne dans une enquête qui sent bon le virus et comme par hasard, TRICELL Inc Africa y mène des « études » scientifiques.

Reprenant, le concept 100% action inauguré par le 4ème opus avec la caméra posée directement au dos du personnage cette aventure à la 3ème personne se vit directement à cent à l’heure avec une immersion instinctive dans les méandres terrifiants de Kijuju. D’une ténacité hors norme, les ennemis ne vous font pas de cadeaux et se font une joie toute particulière de vous prendre en embuscade de tous les côtés en esquivant vos tirs. Les villageois possédés sont organisés en escouade de 10 à 30 individus par moment. Ceux-ci sont composés d'hominiens de tout type : Arbalète, hache, cocktail Molotov, pelle, massue etc. Heureusement tout de même, que votre coéquipière est là pour vous sortir de la panade en cas de problème sérieux, ce qui arrive très fréquemment en vous protégeant des blessures mortelles. Il faut dire que la gestion de l’inventaire se fait ici en temps réelle. Aucune possibilité de mettre le jeu en pause et de se redonner un spray opportun en toute tranquillité. Autant dire que c’est la guerre ! Les situations périlleuses sont à chaque pas et en plus votre inventaire est limité à 9 casiers de rangement seulement. Tout ce que vos protagonistes portes se voient donc sur eux. Heureusement que vous avez la possibilité le cas échéant de vous connecter en ligne pour partager l’action avec l’un de vos amis. Celui-ci, du coup, prendra les commandes de votre partenaire, ce qui n’est en tout cas pas un luxe. Il faut dire que l’intelligence artificielle à tendance à vite être dépassée face aux hordes adverses. Agissant parfois bêtement et en ne ramassant pas les objets nécessaires à sa propre survie. Outre le bestiaire habituel de villageois, des boss colossaux plus répugnants les uns que les autres sont aussi disséminés à travers chacun des 6 chapitres de l’histoire. Heureusement que vous avez l’opportunité de pouvoir customiser vos armes en échange d’argent que vous allez récolter en revendant des trésors éparpillés et cachés sur les monstres eux-mêmes ! L’arsenal mit à votre disposition est heureusement riche en « sulfateuse à moustache » de tout genre. Dire que vous allez commencer votre périple avec un petit 9mm et que vous allez par la suite gagner un lance rocket illimité n’est pas un euphémisme.

Le constat final de ce 5ème opus est plutôt mitigé. Il faut dire que la supervision du jeu a été confiée à Kenji Inafume, qui est le papa de la série MegaMan. Étant donné que Shinji Mikami le réalisateur de la saga d’origine n’est plus chez Capcom, ceci se ressent au niveau de la narration et des mécanismes de l’aventure. Inafume se contente de nous servir un copier carbone du 4ème opus en amplifiant l’action à son extrême limite. Sans un système de coopération le titre serait quasiment injouable en solo. Autre bémol, l’histoire se passe en Afrique est aucun passage ne vient nous présenter d’animaux sauvages peuplant se magnifique continent, berceau de l’humanité. Un troupeau d’éléphant qui nous charge aurait vraiment donné de la consistance à ce safari anti-Wesker. Même pas l’ombre d’un petit Zèbre ou d’une petite gazelle. Dommage ! Resident Evil 5 n’est au font pas un mauvais titre, bien au contraire mais celui-ci se contente du minimum en nous proposant une aventure schématisée sans vraiment innover. Une surenchère technique de plus, jouant la carte de la sécurité marketing. Côté durée de vie, comptez une douzaine d’heure pour parvenir à le terminer une première fois. RE 5 laisse au final un petit goût d’inachevé.

Resident Evil 6 (Pékin express: la grande vadrouille !)



Plus long et nettement plus ambitieux que Resident Evil 4 et 5 réunit, Capcom n’a pas eu peur de faire dans la démesure pour nous vendre les louanges de son « survival-action-horror» sauce TPS.  Les années ont passé et notre fine équipe de tueur d’armes biologiques détraquées reviennent dans un épisode 6 fourre-tout des plus explosifs.

Resident Evil 6 met en avant plusieurs des protagonistes de la saga, au milieu d’intrigues entremêlées qui finissent par se rejoindre à un moment donné.  Les fans retrouveront avec plaisir les héros de leur jeunesse : Chris Redfield, Leon S. Kennedy, Sherry Birkin qui seront accompagnés par Helena Harper, Piers Nivans et  un protagoniste inédit du nom de Jake Muller. Chaque héros se voit affublé d'un partenaire respectif qui l’aidera sur le terrain à grand renfort de cartouches et de sprays soignants.  Bien entendu la coopération en multi-joueurs  fait partie intégrante de cette chasse aux zombies. Toutes aides d’un joueur humain est la bienvenue pour espérer soutenir le rythme effréné et les difficultés accrues qui surgissent à tous les coins de rue. Pour les chanceux qui arriveront au bout des 15 chapitres scriptés et torturés de cette épisode, un scénario supplémentaire se débloquera pour les fans, les plus puristes de la série mettant en avant la troublante Ada Wong.

Chaque aventure comporte son lot de trouvailles bien scriptées et clichées. Vous allez aussi par moment prendre la responsabilité de PNJ qui se retrouveront bien vite pris et mordus dans le vif du sujet en tant que boulet de service, nous laissant contemplatif devant tant de stupidité humaine a s'auto-suicider en direct comme des moutons à l’abattoir.
Une chose est sûre les Javos ne supportent pas le fendant dans la gueule et l'agent Piers ne touche pas le sol.

Resident Evil (Dossiers secrets & hors série)

eyeResident Evil Online

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Le contexte du jeu se situe toujours dans cette bonne vieille ville de Raccoon City.
Le titre met en scène les pauvres petits habitants de la ville maudite, luttant pour leur propre survie. Le titre dans sa version originale japonaise permet de jouer simultanément jusqu'à 4 joueurs en réseaux.

Un vaste choix de personnages jouable est mis à disposition. Ces derniers pourront même être contaminés par le virus " T " et se retourner contre vous ou vos co-équipiers, en les infectants à leur tour.
Les joueurs lors de leur pèlerinage, pourront rencontrer plusieurs PNJ (Personnages Non Jouables), tels que des policiers du RPD, des agents spéciaux ou bien encore des criminels en fuite. Certains d'entre eux les aideront à échapper et à survivre à l'épidémie. D'autres au contraire les attaqueront par traîtrise enfin, certains auront peut-être même besoin de votre aide pour survivre. Les PNJ pourront réagir différemment selon le protagoniste choisi par vos soins. Ce qui promet des évènements amusants lors de votre escapade finale. La version européenne du jeu est emputée de l'option online et on n'y retrouve que le mode solo. Qui est inintéressant car les aventures se termines en 45 minutes montre en main !

eyeResident Evil Online 2

En reprend les mêmes et on recommence, le système de coopération se voit étoffé de nouveau mouvement et des nouvelles bestioles et des nouveaux lieux font ici leur apparition. Le deuxième volet permet enfin à nous joueurs occidentales de pouvoir joueur à ce jeu en ligne jusqu'à 4 joueurs simultanément.

eyeResident Evil - The Umbrella Chronicles

Capcom nous replonge dans l'univers de Resident Evil avec un jeu de shoot à la première personne, de type "arcade" : la maniabilité Wii à l'appui, armez-vous d'un gun et laissez-vous propulser dans un survival-horror où les zombies se feraient un festin de votre cervelle si vous n'étiez pas sérieusement décidé à vous en sortir. Immersion immédiate dans un univers obscur et sanglant. Le jeu propose de reparcourir le scénario des premiers volets de la saga Resident Evil; aux commandes des divers héros, Rebecca Chambers, Billy Cohen, Chris Redfield, Jill Valentine, Carlos Oliveira, découvrez certains passages énigmatiques des premiers jeux à l'ambiance Survival-Horror. Rien de bien nouveau côté scénario, les fans connaissent déjà en long et en large les différentes histoires. La trame de fond est plutôt décousue et pour ceux qui ne connaîtraient pas encore ces jeux, Umbrella Chronicles passe pour un simple shoot dans un univers de zombies dont on ne comprend pas vraiment l'implication des différentes scènes. Rien de très compliqué ni vraiment très passionnant.

eyeResident Evil - Darkside Chronicles

La saga des gun survivor n’a jamais vraiment permit de voir sortir des jeux de tir de qualité. Capcom roi incontestable du recyclage vidéoludique, ne cesse cependant de continuer à nous offrir des déclinaisons à toutes les sauces de ses jeux fétiches maisons. La saga Resident Evil en fait incontestablement partie. Après plusieurs essais étalés sur une dizaine d’année plus au moins mauvais, le concept du tir sur rails scriptés commence enfin à trouver ses marques avec l’apparition de la Wii. Il faut dire que la machine du petit père Mario est remarquablement bien conçue pour se genre de production, grâce à ça Wiimote en particulier. Alors accrocher vous, car le cauchemar ne fait que commencer dans les chroniques de Resident Evil.
Aujourd’hui, le côté obscure de la série se retrouve transcendé à nouveau en nous faisant revivre les meilleures passages de Resident Evil 2 et de Code Veronica X. Tout en nous apportant au passage ses lumières sur la rencontre antérieure de Jack Krauser et de Leon S. Kennedy. D’ailleurs, l’aventure commence par une incursion en pleine Amérique latine dans la jungle où se trouve un petit village perdu. Suivant la trace d’ancien scientifique d’Umbrella Corp. Leon se retrouve plongé dans l’enfer du Virus T une nouvelle fois. Cet préquelle fait également tampon entre la fin de Code Veronica et le début de Resident Evil 4.
Sous forme de flash-back, Leon nous conte ses tribulations passées et celles de Claire Redfield lors des événements antérieurs. Racontant à Krauser comment il est devenu un agent du gouvernement en déjouant les complots d’Umbrella. L’aventure débute…

eyeResident Evil Gaiden

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Un opus atypique de la saga ayant été joué par une minorité des fans, peut-être, est ce à cause que ce titre n'est sorti que sur GameBoy Color ? Malgré les performances minimalistes du support, le titre est un bon soft de Survival Horrors comme on les aime avec une ambiance de jeu bien pesante. Cependant le jeu pèche par sa courte durée de vie : il vous faudra moins de dix heures pour en faire le tour. A noter aussi "Le Bug" qui fait planter le jeu et perdre toutes les sauvegardes lors du combat avec le boss aux 3/4 de l'aventure. La solution ? Tuer le boss avant que ça plante ! Autrement retour à la case départ.

eyeResident Evil 1.5

Capcom suite au succès du premier RE sur PSONE, décida de mettre en chantier une séquelle. Les premiers écrans de jeu donné à la presse spécialisé montrent l'apparence des nouveaux protagonistes de cette suite, Léon et Elza. Mais voilà peut satisfait du résultat obtenu les dirigeants de la firme japonaise décident tout simplement d'annuler cette ébauche et de recommencer toute la programmation à zéro. Soyons clair ce titre n'est jamais sortie dans le commerce et n'est en fait qu'une esquisse de Resident Evil 2.

eyeResident Evil: Operation Racoon City

Opération Raccoon City est le jeu que les fans de Resident Evil attendaient avec beaucoup d’intérêt  en ce début d’année 2012. L’offre en tous les cas nous a été présentée de façon très aguichante à grand coup de trailers et de captures d’écran qui nous en avaient mis plein les yeux. Cependant, le constat est plutôt décevant et force est de croire que les développeurs se sont retrouvés ligotés avec un flingue posé sur la tempe droite, afin de sortir le titre à tout prix dans les délais impartis par le marketing de Capcom.

Super !!! Vous incarnez un groupe d’agent commandé par Hunk en personne, dont le but est de nettoyer le joyeux bordel laissé par Umbrella Corporation en éliminant les indices et en supprimant les gêneurs pendant les évènements de destruction de Raccoon City entre Resident Evil 2 et 3. Les fans seront ravis de retrouver les héros de la série qui font des apparitions à des moments clés de l’histoire, mais comme toujours de façon totalement anarchique et déstructurée et sans vraiment avoir de rapport avec le feu de l’action. Anecdotique pour ne pas dire f…de Gueu... Pourtant tous les ingrédients d’un hit en puissance étaient disponibles pour nous offrir un TPS de grande qualité.

eyeResident Evil: Revelations

Capcom passé maître dans l’art de créer de nouveaux virus qui rassemblent des milliers de joueurs devant leurs écrans impatients et nerveux à l’idée de  se replonger au fil des épisodes dans les conspirations les plus farfelues de savants et politiciens en quête de purifications divines. Ce nouveau Resident Evil innove son gameplay tout en gardant ce qui faisait merveille dans les premiers épisodes de la saga, un subtil mélange d’action et de tension horrifique. Un véritable retour aux sources bienvenu qui subliment de bien belle manière une petite console habituée depuis sa sortie à consommer des titres beaucoup trop insipides pour ces réelles capacités.

Dans cette nouvelle aventure horrifique, la disparition de Chris Redfield envoyé en mission pour découvrir les mystères qui se passent en méditerranée, nécessite l’intervention d’une seconde équipe composée de Jill Valentine et d’un nouveau membre musclé Parker Luciani tous les deux affiliés à la BSAA (Un groupement créer après les évènement de Raccoon City pour combattre les menaces bio-terroriste dans le monde) qui vont croiser la route d’un navire-fantôme envahit de mutants agressifs. D’autres équipes seront envoyées pour savoir ce qui est arrivé à tout ce petit monde. Est-ce que vous suivez toujours et que vous ne vous êtes pas perdu dans les cales d’un vieux navire en cour de route ?

Resident Evil Revelation est narré comme une série télévisée avec ses intro formatée à la sauce Capcom ponctuée de splendides cinématiques et le découpage comme des épisodes avec un switch intéressant entre les personnages au cour de l’aventure et un final qui réserve son lot de surprise pour la suite. Impossible de lâcher la console car on veut toujours en savoir plus et cela dès les première scènes. On a l’impression d’avoir joué ces scènes des dizaines de fois, pour ceux qui suivent la saga depuis ces débuts, mais étonnamment l’alchimie prend toujours au tripe et le parti-pris des développeurs de revenir aux sources de ce qui avait fait le succès de la saga contribue largement à cette immersion des plus jouissives. Fini les fusillades et les massacres de masses comme sur les épisodes précédents (Resident Evil 4 qui reste un petit bijou malgré son action frénétique mais qui n’avait rien de comparable avec le Resident Evil 5 qui faisait dans la surenchère en oubliant de nous faire peur) et bienvenu dans les espaces confinés, les longs couloirs lugubres sombres, les laboratoires perdu au milieu de nulle part, les ennemis qui vous attaquent au moment le plus mal choisis, les mythiques caisses à armement, les plantes médicinales, les toilettes dégueulasses et les baignoires nauséeuses à vider, sans oublier ses nombreux plans qui nous rappellent les vieux manoirs jadis visités. Alors certes on ne va pas non plus se mettre à hurler toute les dix secondes comme sur Dead Space qui reste pour moi le summum du jeu d’horreur mais ce nouvel opus nous imprègne dès le début dans les méandres d’une aventures torturées ou le moindre bruit peut être le signe d’une prochaine attaque, d’une vision cauchemardesque, de la présence d’un ennemi coriace et létal. L’effet en trois dimensions utilisées à petit dose renforce le sentiment d’être plongé au cœur même d’évènement monstrueux. Le bestiaire lui aussi rappellera à certains que les Hunter ont la vie dure et la peau solide, qu’il ne fait pas bon de croiser des chiens polaires qui ont mangé des croquettes chimiques, que même les gentils poissons peuvent montrer les dents… Sans oublier des Boss très résistant qui vous donneront pas mal de fil à retordre. J’allais presque oublier le plus important !!! Capcom a enfin corrigé cette horrible impossibilité qui ne permettait pas aux joueurs de pouvoir tirer tout en se déplaçant. Ce soucis d’avoir enfin écouté les supplications de toute une communauté couplée à un pad circulaire pro quand même vendu aux alentours de 20 euros qui se veut indispensable accroissent le sentiment d’immersion et permettent une jouabilité bien plus convaincante et précise. Le système de customisation des armes avec des pièces interchangeables pour certains types d’armes offrent de multiples choix en termes de puissance de feu, capacités de munitions, dégâts, stabilité. Les possibilités sont ainsi multipliées et permet d’avoir toujours sur soi une arme salvatrice. Un dernier petit détail très intéressant sont les sacoches à munitions visibles sur les personnages et qui nous montrent bien que l’on ne se coltine pas avec deux tonnes de bastos sur le dos. On récupèrera au fil de l’aventure des poches à magasins supplémentaires pour accroître ses capacités d’emport.

eyeResident Evil: Gun Survivor

Capcom a continué de rentabiliser ces licences en sortant de tout et du n'importe quoi de la PSOne en Passant à la PS2. C'est le cas des hors-séries Gun Survivor qui surfent  sur la vague de la prestigieuse licence Resident Evil à sauce House of the Dead sans y arriver vraiment !

Niveau scénario, la saga des Gun Survivor n’a vraiment rien à voir avec l'histoire principale de RE, et n'apporte aucun élément intéressant pour les fans de la série. Ces appendices sans importances, vous mettes au commande de votre manette ou de votre Gun Con dans la peau d'un protagoniste venu de je ne sais pas d’où !

Dans ces pseudos jeu d'action à la 3ème personne vous allez devoir tirer sur tout ce qui bouge à l'écran et trouvant des clés pour ouvrir des portes pour progresser.
Graphiquement laid et sans aucune saveur il vaut mieux mettre ces titre au fond d'une poubelle plutôt que dans votre ludothèque. Surtout que leurs durée de vie est minable au possible et se termine en moins de 1h30 montre en main et ce n'est pas le dernier opus Resident Evil : Dead Aim sortie en 2003 sur PS2 qui va rehausser le niveau. Vite joués et vite oubliés !

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Resident Evil (les films).

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  • Resident Evil, réalisé par Paul W. S. Anderson, sorti en 2002.
  • Resident Evil: Apocalypse, réalisé par Alexander Witt, sorti en 2004.
  • Resident Evil: Extinction, réalisé par Russell Mulcahy, sorti en 2007.
  • Resident Evil: Afterlife, réalisé par Paul W. S. Anderson, sorti en 2010.
  • Resident Evil : Retribution 3D, réalisé par Paul W. S. Anderson, sorti  en 2012.

Rendez-vous sur ce site pour avoir un bon résumé des films.

Resident Evil les films, sont ineptes, inodores et sans saveur. Les films sentent à des kilomètres le calcul facile pour toucher un publique peut connaisseur de la série de Capcom et qui n’ont pas envient de se poser trop de questions d’ordre humain. Tout ce qui est l'opposé d'un véritable film de Zombies de Georges A. Romero ou de la série TV Walking Dead. Cependant le box-office américain et là et Paul Anderson va continuer à produire des films dérivés de la saga de Capcom. Préférez de loin les films d'animation en images de synthèse directement produits par Capcom himself au moins ils respectent à la lettre l'esprit et le scénario de la série.

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